Je ne l'avais pas revu depuis son passage sur C+ l'année après ça sortie en salle. Donc nouvelle vision avec un oeil (les 2 en fait) un peu moins gosse émerveillé devant les SFX et des dinos vivants. Le film est une tuerie monumentale. J'ai ressenti une tension qui m'a surpris. En effet, le scénario reprend les ficelles archiconnues en 3 actes, "Wouhaohhh - La couille dans le pâté - Sauve qui peut". Mais là, quel efficacité. Tout est parfait (hormis le sol ascenseur de chez le T-Rex). D'ailleurs ces 3 points sont magnifiquement représentés.
La mise en scène et le montage de l'apparition du Brachiosaurus est une des meilleures séquences jamais tournées. L'alternance de plan sur les visages des protagonistes regardant qqch en hors champs puis enfin l'apparition de cet élément magnétique. Le tout sur du John Williams...
Je parlais de tension. la "couille dans le pâté" se manifeste par la sortie du roi des dinosaures tyran. Malgré l'humour léger du personnage de Goldblum, le stress est omniprésent.
Autres séquence, les Deynonichus, euh non les raptor. Leur apparition lors de la réactivation du courant par la botaniste et dans le complexe principal avec les gosses.
Enfin trop de choses devraient être relevées mais le temps me manque (vive le boulot).
Hammond a dépensé sans compter et tant mieux/6
De toute manière, Steven Spielberg sera toujours un génie incompris. Dont les gens se contente de dire qu'il fait du divertissement pur est simple.
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
Fideghja lu to fratellu Li stringhje una catena. A listessa di a toia, à noi tutti ci mena.
Sè nò tiremu tutti inseme, da fà ne un frombu, cumu un cantu di libertà
La notion de navet est subjective mais pour certain films, les arguments sont légions. Maintenant entre le cinéma US et le reste je pense que proportionnellement, il y a autant de mauvais films créés en France ou au Japon qu'aux USA.
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
Petit budget mais grandes ambitions. Le fond est basic. Don le film repose énormément sur la forme. Là-dessus Sam Raimi démontre déjà du talent et de l'originalité. La mise en scène comporte de nombreux plan abracadabrantesque (changement de direction de Ash filmé de sous les pieds; le trip hallucinatoire qui débute dans la cave) et un découpage très rythmé qui garde toute sa tension. Tension qui est palpable grâce entre autre à l'éclairage est aux bruitages.
Les éléments faiblards, l'abus des séquences classiques et rébarbatives des films de trouille (l'ouverture d'une porte mais non, il n'y a rien. Peut-être derrière le rideau de douche TANDAN il n'y a toujours rien). Un autre point, il s'agit de détails scénaristiques quant à l'attitude des personnages. Je veux dire par là qu'à la suite de la 1ère attaque, chacun reste de son côté (celle qui fait office de taille crayon est laissée dans une chambre seul entre autre). Logiquement un regroupement serait l'attitude normale. La prestation des acteurs n'est pas des plus convaincantes hormis Bruce Campbell évidemment (objectivité ?)
J'ai apprécié les "running gags" distillés à faible dose (Ash et les étagères ou encore les rinçages faciaux sanglant) qui n'altère pas l'ambiance oppressante.
Un bon film qui vaut surtout pour son inventivité de mise en scène et ses SFX qui malgré le manque de moyen montre réel envie de créativité.
4/6
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
voila, selon à la demande d'un forumer :
Fervent militant pour les causes écologiques et humanitaires son dernier film s'inscrit logiquement dans ce contexte sans pour autant plonger dans la facilité. En effet, le film est loin du "la nature c'est magnifique et les hommes sont méchant pas bien". On suit donc le personnage principal qui étant rongé par un "mal" latent se décide à quitter sa vie pour rejoindre la nature et la solitude. Cela pourrait être casse gueule et chiant. Mais non car Penn met en scène de manière intimiste et non contemplative. La nature magnifique est filmée à vue d'homme. Les rencontres que fait le personnage sont toutes marquantes et parfaitement interprétées. (Mention pour les hippies et Vaughn). Le scénario est très efficace et recèle de grands moments, les hippies (de nouveau), la partie chez le paysan et la chasse à l'élan. Quelques défauts quand même, un passage en ville ennuyant et qui plombe le rythme. La séquence de la montagne avec le papy, trop simpliste. Enfin le dernier plan est sublime (je pense surtout à celui du père au milieu de la chaussée)
Encore un mot sur la musique interprétée par Vedder, le TOUT grand de Pearl Jam
un bon 4/6
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
voila, selon à la demande d'un forumer :
Fervent militant pour les causes écologiques et humanitaires son dernier film s'inscrit logiquement dans ce contexte sans pour autant plonger dans la facilité. En effet, le film est loin du "la nature c'est magnifique et les hommes sont méchant pas bien". On suit donc le personnage principal qui étant rongé par un "mal" latent se décide à quitter sa vie pour rejoindre la nature et la solitude. Cela pourrait être casse gueule et chiant. Mais non car Penn met en scène de manière intimiste et non contemplative. La nature magnifique est filmée à vue d'homme. Les rencontres que fait le personnage sont toutes marquantes et parfaitement interprétées. (Mention pour les hippies et Vaughn). Le scénario est très efficace et recèle de grands moments, les hippies (de nouveau), la partie chez le paysan et la chasse à l'élan. Quelques défauts quand même, un passage en ville ennuyant et qui plombe le rythme. La séquence de la montagne avec le papy, trop simpliste. Enfin le dernier plan est sublime (je pense surtout à celui du père au milieu de la chaussée)
Encore un mot sur la musique interprétée par Vedder, le TOUT grand de Pearl Jam
un bon 4/6
'Tain c'est du rapide!!!
Un 4 sur 6 seulement?!?!?! Perso j'ai adoré. Je m'attendais à un truc lourdingue, bien moralisateur à la ricaine sur le réchauffement de la planète (ouais j'étais mal luné ce jour-là...)et que la nature c'est bien mais pas la ville. Mais en fait c'est simplement l'histoire d'un homme retracé à travers son récit qu'il s'est appliqué à écrire au fur et à mesure de ses expériences, de ses rencontres. Sans parler du côté purement cinématographique, ce film est une ode à la vie dans sa plus simple expression. Je trouve que dans l'ensemble il sonne juste, pas trop gnangnan, pas trop ricain-on-est-les-meilleurs avec un bon dosage d'émotions.
Ils ne sont pas fous ces anglais, ils sont seulement les plus talentueux en Europe. Fright et Pegg sont des encyclopédie vivante du cinéma. Des geeks comme QT, Kevin Smith, Peter Jackson, Sam Raimi, Spielberg et plein d'autres.
vais faire court.
Revu le film en début de semaine. La reconnaissance ou plutôt (le chien de) la NON reconnaissance des soldats ricains enrôlés dans cette guerre de m. Contrairement à maintenant il ne me semble pas que c'était pas encore une armée de professionnel, mais ça les spécialiste pourront infirmer ou confirmer. Bref ce thème là est très bien traité et force le/mon respect. Cependant, Stallone joue comme un poisson. Sa crise dans le poste de police devant le col Trautman (qui lui est excellent), il arrive à détruire l'impact émotionnelle de cette séquence à lui tout seul, chapeau euh non, béret. A part ça la mise en scène et le montage sont haletant, toutes la partie forêt est très intéressante (bien loin de Predator c'est sûr). Donc un scénario efficace et pas dénué de toute réflexion comme on peut le lire un peu partout; une réalisation à l'image du scénario; interprétations justes hormis Stallone (pourtant il est bon merde Rocky quoi).
Un bon film mais pas une tuerie "c'est pas moi qu'ai commencé" mais Looole 4/6
PS : l'affiche n'est pas dutout représentative de l'esprit du film.
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
Inscription: 28/09/2006
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#496Je ne l'avais pas revu depuis son passage sur C+ l'année après ça sortie en salle. Donc nouvelle vision avec un oeil (les 2 en fait) un peu moins gosse émerveillé devant les SFX et des dinos vivants. Le film est une tuerie monumentale. J'ai ressenti une tension qui m'a surpris. En effet, le scénario reprend les ficelles archiconnues en 3 actes, "Wouhaohhh - La couille dans le pâté - Sauve qui peut". Mais là, quel efficacité. Tout est parfait (hormis le sol ascenseur de chez le T-Rex). D'ailleurs ces 3 points sont magnifiquement représentés.
La mise en scène et le montage de l'apparition du Brachiosaurus est une des meilleures séquences jamais tournées. L'alternance de plan sur les visages des protagonistes regardant qqch en hors champs puis enfin l'apparition de cet élément magnétique. Le tout sur du John Williams...
Je parlais de tension. la "couille dans le pâté" se manifeste par la sortie du roi des dinosaures tyran. Malgré l'humour léger du personnage de Goldblum, le stress est omniprésent.
Autres séquence, les Deynonichus, euh non les raptor. Leur apparition lors de la réactivation du courant par la botaniste et dans le complexe principal avec les gosses.
Enfin trop de choses devraient être relevées mais le temps me manque (vive le boulot).
Hammond a dépensé sans compter et tant mieux/6
De toute manière, Steven Spielberg sera toujours un génie incompris. Dont les gens se contente de dire qu'il fait du divertissement pur est simple.
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
Inscription: 02/06/2003
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#497Et le super demi tour sur roue avant sur un train à pleine vitesse
Un film vu récemment au ciné qui est génial : Into the wild (rien que pour les paysages ça vaut la peine)
Inscription: 01/07/2005
Localisation: Chexbres
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#498Et c'est du bon
Fideghja lu to fratellu Li stringhje una catena. A listessa di a toia, à noi tutti ci mena.
Sè nò tiremu tutti inseme, da fà ne un frombu, cumu un cantu di libertà
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#499C'est du gros , ça a coûter très cher , ça pète de partout , scénario proche du zéro ( quoique...) , bref , tout ce que j'aime...
Je penche donc je suis !
Inscription: 17/02/2007
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#500Là Holliwood doit te combler... parce que si tu aime les navets: y en a...
***** S i - t u - e s - p r e s s é -, f a i s - u n - d é t o ur ******
Inscription: 17/02/2007
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#501Dans le genre pas navet, j'ai vu American Gangster.
Scotché sur mon fauteuil pendant plus de 2 heures 30...
Plein d'action, du rythme, du suspens, basé sur une histoire vraie...
Et les deux acteurs qui jouent le héro dealer et le flic: chapeau.

***** S i - t u - e s - p r e s s é -, f a i s - u n - d é t o ur ******
Inscription: 28/09/2006
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#502La notion de navet est subjective mais pour certain films, les arguments sont légions. Maintenant entre le cinéma US et le reste je pense que proportionnellement, il y a autant de mauvais films créés en France ou au Japon qu'aux USA.
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
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#503Petit budget mais grandes ambitions. Le fond est basic. Don le film repose énormément sur la forme. Là-dessus Sam Raimi démontre déjà du talent et de l'originalité. La mise en scène comporte de nombreux plan abracadabrantesque (changement de direction de Ash filmé de sous les pieds; le trip hallucinatoire qui débute dans la cave) et un découpage très rythmé qui garde toute sa tension. Tension qui est palpable grâce entre autre à l'éclairage est aux bruitages.
Les éléments faiblards, l'abus des séquences classiques et rébarbatives des films de trouille (l'ouverture d'une porte mais non, il n'y a rien. Peut-être derrière le rideau de douche TANDAN il n'y a toujours rien). Un autre point, il s'agit de détails scénaristiques quant à l'attitude des personnages. Je veux dire par là qu'à la suite de la 1ère attaque, chacun reste de son côté (celle qui fait office de taille crayon est laissée dans une chambre seul entre autre). Logiquement un regroupement serait l'attitude normale. La prestation des acteurs n'est pas des plus convaincantes hormis Bruce Campbell évidemment (objectivité ?)
J'ai apprécié les "running gags" distillés à faible dose (Ash et les étagères ou encore les rinçages faciaux sanglant) qui n'altère pas l'ambiance oppressante.
Un bon film qui vaut surtout pour son inventivité de mise en scène et ses SFX qui malgré le manque de moyen montre réel envie de créativité.
4/6
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
Inscription: 28/09/2006
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#504voila, selon à la demande d'un forumer :

Fervent militant pour les causes écologiques et humanitaires son dernier film s'inscrit logiquement dans ce contexte sans pour autant plonger dans la facilité. En effet, le film est loin du "la nature c'est magnifique et les hommes sont méchant pas bien". On suit donc le personnage principal qui étant rongé par un "mal" latent se décide à quitter sa vie pour rejoindre la nature et la solitude. Cela pourrait être casse gueule et chiant. Mais non car Penn met en scène de manière intimiste et non contemplative. La nature magnifique est filmée à vue d'homme. Les rencontres que fait le personnage sont toutes marquantes et parfaitement interprétées. (Mention pour les hippies et Vaughn). Le scénario est très efficace et recèle de grands moments, les hippies (de nouveau), la partie chez le paysan et la chasse à l'élan. Quelques défauts quand même, un passage en ville ennuyant et qui plombe le rythme. La séquence de la montagne avec le papy, trop simpliste. Enfin le dernier plan est sublime (je pense surtout à celui du père au milieu de la chaussée)
Encore un mot sur la musique interprétée par Vedder, le TOUT grand de Pearl Jam
un bon 4/6
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
Inscription: 17/02/2005
Localisation: Moosseedorf
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#505Moi je trouve que les 15 minutes de Torque sont vraiment cool.. c'est domage que le film n'aie pas continuer ainsi...
Les roux sont la preuve que dieux existe... et qu'il a de l'humour.#Banière censurée#https://contresense.wordpress.com
Inscription: 25/07/2005
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#506'Tain c'est du rapide!!!
Un 4 sur 6 seulement?!?!?! Perso j'ai adoré. Je m'attendais à un truc lourdingue, bien moralisateur à la ricaine sur le réchauffement de la planète (ouais j'étais mal luné ce jour-là...)et que la nature c'est bien mais pas la ville. Mais en fait c'est simplement l'histoire d'un homme retracé à travers son récit qu'il s'est appliqué à écrire au fur et à mesure de ses expériences, de ses rencontres. Sans parler du côté purement cinématographique, ce film est une ode à la vie dans sa plus simple expression. Je trouve que dans l'ensemble il sonne juste, pas trop gnangnan, pas trop ricain-on-est-les-meilleurs avec un bon dosage d'émotions.
Perso je lui mettrais un 5.5
Inscription: 16/02/2006
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#507Ouais, comment me convaincre en une ligne de ne jamais regarder cette daube !
Merci Poloche
La lutte se situe plus au niveau spirituel et vibratoire que matériel.
Inscription: 28/09/2006
Localisation: La Croix
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#508pour en revenir à Into The Wild :
Les "menus" défaut qui m'on sauté au visage mm'ont détachés du film. Raison pour laquelle je n'arrive pas à lui mettre une note supérieur.
Loin d'un big John ou d'un spielby mais bon là je suis pas très objectif. Et pourtant j'en ai des analyses faites par des connaissances
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
Inscription: 01/02/2006
Localisation: Villarimboud
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#509Hot Fuzz, un film de grand grand malade bien déjanté

Sont vraiment fout ces anglais
On peut limiter la vitesse, mais rien ne peut freiner la passion!
Inscription: 28/09/2006
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#510Ils ne sont pas fous ces anglais, ils sont seulement les plus talentueux en Europe. Fright et Pegg sont des encyclopédie vivante du cinéma. Des geeks comme QT, Kevin Smith, Peter Jackson, Sam Raimi, Spielberg et plein d'autres.
vais faire court.
Revu le film en début de semaine. La reconnaissance ou plutôt (le chien de) la NON reconnaissance des soldats ricains enrôlés dans cette guerre de m. Contrairement à maintenant il ne me semble pas que c'était pas encore une armée de professionnel, mais ça les spécialiste pourront infirmer ou confirmer. Bref ce thème là est très bien traité et force le/mon respect. Cependant, Stallone joue comme un poisson. Sa crise dans le poste de police devant le col Trautman (qui lui est excellent), il arrive à détruire l'impact émotionnelle de cette séquence à lui tout seul, chapeau euh non, béret. A part ça la mise en scène et le montage sont haletant, toutes la partie forêt est très intéressante (bien loin de Predator c'est sûr). Donc un scénario efficace et pas dénué de toute réflexion comme on peut le lire un peu partout; une réalisation à l'image du scénario; interprétations justes hormis Stallone (pourtant il est bon merde Rocky quoi).
Un bon film mais pas une tuerie "c'est pas moi qu'ai commencé" mais Looole 4/6
PS : l'affiche n'est pas dutout représentative de l'esprit du film.
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan