encore un peu d'inspiration, même si ma tête va ailleurs ce soir...
Oh, Tristesse... Me Voici, Moi !
Salut à toi et bienvenu.
Ne tarde pas à te montrer sur la route.
à moins que l'hiver arrivant tu la redoutes
et la neige tombant ne te fasse partir trébuchant....
Ou que la glace ne te laisse de glace...
tremblotant comme un vieux chiffon blanc....
Tout frileux au coin du feu...
Accompagné de sa tendre aimée
Si elle ne t'a pas déjà plaquée
Une maîtresse saurait la remplacer
Comme un amant dans son élan ...
Emporté par la route dans de folles virées...
Son amant s'en allait gaîment
Dans les entrelas, qui comme des bras, l'enlaçait
Tendre maîtresse, toute enrubannée, qui t’aurait fait la promesse…
qu'un jour peut être elle te montrerais ses fesses....
quand après t’avoir "enfumé", elle t’attendrait au tournant.
Tournant de la vie lorsque tu boiras la coupe jusqu'à la lie...
Tu lui sortiras ta panoplie pour lui montrer ton tourment...
Un moment d'égarement et plus tard la venue d'un enfant….
Mais n’est-ce pas folie ?
Ou consécration … le Motard eu un moutard avec sa Ruth !
Sachant que la Motarde vint de Dijon,
ne nous prends pas pour des pigeons...
Et ne fait pas l’erreur de ceux qui ont déjà pris la route,
pensant n’avoir plus aucun doute !
Car après avoir tourné la poignée à fond,
Ils se sont fait plumer comme des dindons!
Le dindon comme tout un chacun le sait étant membré comme un pinson
Il devenait alors urgent de lui récupérer l'intégralité de sa toison...
Mais tu peux toujours courir et faire de beaux sourires
Lorsque la maréchaussée t’aura dans sa ligne de mire
Pleures ta toison car tu seras tondu comme un mouton
Qui bien utile dans l'hiver rigoureux
dans ta doublure de mouton tu es heureux
Oh Dieu des Motards, aide nous à les voir s'envoler
nous laissant avec la route convolé
Au guidon de nos belles chamarées
Qui laisse froid les hommes en habits bleu foncé
Seigneurs du bitume noir
Enroule ton long rubans
Nous créants des courbes rentrant dans l'histoire
Que nos coeurs s'emballant
Affronte la poignée gaz à fond
Ne cherchant que plaisir et sensations
Les trouillards au mitard
Les déjantés au nirvana du motard...
Ne tarde pas à te montrer sur la route.
à moins que l'hiver arrivant tu la redoutes
et la neige tombant ne te fasse partir trébuchant....
Ou que la glace ne te laisse de glace...
tremblotant comme un vieux chiffon blanc....
Tout frileux au coin du feu...
Accompagné de sa tendre aimée
Si elle ne t'a pas déjà plaquée
Une maîtresse saurait la remplacer
Comme un amant dans son élan ...
Emporté par la route dans de folles virées...
Son amant s'en allait gaîment
Dans les entrelas, qui comme des bras, l'enlaçait
Tendre maîtresse, toute enrubannée, qui t’aurait fait la promesse…
qu'un jour peut être elle te montrerais ses fesses....
quand après t’avoir "enfumé", elle t’attendrait au tournant.
Tournant de la vie lorsque tu boiras la coupe jusqu'à la lie...
Tu lui sortiras ta panoplie pour lui montrer ton tourment...
Un moment d'égarement et plus tard la venue d'un enfant….
Mais n’est-ce pas folie ?
Ou consécration … le Motard eu un moutard avec sa Ruth !
Sachant que la Motarde vint de Dijon,
ne nous prends pas pour des pigeons...
Et ne fait pas l’erreur de ceux qui ont déjà pris la route,
pensant n’avoir plus aucun doute !
Car après avoir tourné la poignée à fond,
Ils se sont fait plumer comme des dindons!
Le dindon comme tout un chacun le sait étant membré comme un pinson
Il devenait alors urgent de lui récupérer l'intégralité de sa toison...
Mais tu peux toujours courir et faire de beaux sourires
Lorsque la maréchaussée t’aura dans sa ligne de mire
Pleures ta toison car tu seras tondu comme un mouton
Qui bien utile dans l'hiver rigoureux
dans ta doublure de mouton tu es heureux
Oh Dieu des Motards, aide nous à les voir s'envoler
nous laissant avec la route convolé
Au guidon de nos belles chamarées
Qui laisse froid les hommes en habits bleu foncé
Seigneurs du bitume noir
Enroule ton long rubans
Nous créants des courbes rentrant dans l'histoire
Que nos coeurs s'emballant
Affronte la poignée gaz à fond
Ne cherchant que plaisir et sensations
Les trouillards au mitard
Les déjantés au nirvana du motard...
Que les feuilles mortes s'écartent devant nos roues
Que le brouillard diparraisse à notre approche
Que la pluie sèche au contact de ta surface, plus de boue
Que ta surface douce et rapeuse, que nos pneus crochent
Nous emmenant dans les lointains plaisir de l'adrénaline
La puissance s'emballent dans nos machines
L'air dans nos casques nous enivre et nous drogue
Le bruit de nos machines s'éclament sans épilogue
Ne tarde pas à te montrer sur la route.
à moins que l'hiver arrivant tu la redoutes
et la neige tombant ne te fasse partir trébuchant....
Ou que la glace ne te laisse de glace...
tremblotant comme un vieux chiffon blanc....
Tout frileux au coin du feu...
Accompagné de sa tendre aimée
Si elle ne t'a pas déjà plaquée
Une maîtresse saurait la remplacer
Comme un amant dans son élan ...
Emporté par la route dans de folles virées...
Son amant s'en allait gaîment
Dans les entrelas, qui comme des bras, l'enlaçait
Tendre maîtresse, toute enrubannée, qui t’aurait fait la promesse…
qu'un jour peut être elle te montrerais ses fesses....
quand après t’avoir "enfumé", elle t’attendrait au tournant.
Tournant de la vie lorsque tu boiras la coupe jusqu'à la lie...
Tu lui sortiras ta panoplie pour lui montrer ton tourment...
Un moment d'égarement et plus tard la venue d'un enfant….
Mais n’est-ce pas folie ?
Ou consécration … le Motard eu un moutard avec sa Ruth !
Sachant que la Motarde vint de Dijon,
ne nous prends pas pour des pigeons...
Et ne fait pas l’erreur de ceux qui ont déjà pris la route,
pensant n’avoir plus aucun doute !
Car après avoir tourné la poignée à fond,
Ils se sont fait plumer comme des dindons!
Le dindon comme tout un chacun le sait étant membré comme un pinson
Il devenait alors urgent de lui récupérer l'intégralité de sa toison...
Mais tu peux toujours courir et faire de beaux sourires
Lorsque la maréchaussée t’aura dans sa ligne de mire
Pleures ta toison car tu seras tondu comme un mouton
Qui bien utile dans l'hiver rigoureux
dans ta doublure de mouton tu es heureux
Oh Dieu des Motards, aide nous à les voir s'envoler
nous laissant avec la route convolé
Au guidon de nos belles chamarées
Qui laisse froid les hommes en habits bleu foncé
Seigneurs du bitume noir
Enroule ton long rubans
Nous créants des courbes rentrant dans l'histoire
Que nos coeurs s'emballant
Affronte la poignée gaz à fond
Ne cherchant que plaisir et sensations
Les trouillards au mitard
Les déjantés au nirvana du motard...
Que les feuilles mortes s'écartent devant nos roues
Que le brouillard diparraisse à notre approche
Que la pluie sèche au contact de ta surface, plus de boue
Que ta surface douce et rapeuse, que nos pneus crochent
Nous emmenant dans les lointains plaisir de l'adrénaline
La puissance s'emballent dans nos machines
L'air dans nos casques nous enivre et nous drogue
Le bruit de nos machines s'éclament sans épilogue
Si tu continue tu vas pouvoir le faire passer dans le Guiness
Salut à toi et bienvenu.
Ne tarde pas à te montrer sur la route.
à moins que l'hiver arrivant tu la redoutes
et la neige tombant ne te fasse partir trébuchant....
Ou que la glace ne te laisse de glace...
tremblotant comme un vieux chiffon blanc....
Tout frileux au coin du feu...
Accompagné de sa tendre aimée
Si elle ne t'a pas déjà plaquée
Une maîtresse saurait la remplacée
Comme un amant dans son élan ...
emporté par la route dans de folles virées...
Son amant s'en allait gaîment
dans les entre las qui comme des bras l'enlaçait
Tendre maîtresse, toute enrubannée, qui t’aurait fait la promesse…
qu'un jour peut être elle te montrerais ses fesses....
quand après t’avoir "enfumé", elle t’attendrait au tournant.
Tournant de la vie lorsque tu boiras la coupe jusqu'à la lie...
Tu lui sortiras ta panoplie pour lui montrer ton tourment...
Un moment d'égarement et plus tard la venue d'un enfant...
Mais n’est-ce pas folie ?
Ou consécration … le Motard eu un moutard avec sa Ruth !
Sachant que la Motarde vint de Dijon, ne nous prends pas pour des pigeons...
Et ne fait pas l’erreur de ceux qui ont déjà pris la route,
pensant n’avoir plus aucun doute !
Car après avoir tourné la poignée à fond,
Ils se sont fait plumer comme des dindons!
Le dindon comme tout un chacun le sait étant membré comme un pinson
Il devenait alors urgent de lui récupérer l'intégralité de sa toison...
Mais tu peux toujours courir et faire de beaux sourires
Lorsque la maréchaussée t’aura dans sa ligne de mire
Pleures ta toison car tu seras tondu comme un mouton
Qui bien utile dans l'hiver riguoureux
dans ta doublure de mouton tu es heureux
Oh Dieu des Motards, aide nous à les voir s'envoler
nous laissant avec la route convolé
Au guidon de nos belles chamarées
Qui laisse froid les hommes en habits bleu foncé
Seigneurs du bitume noir
Enroule ton long rubans
Nous créants des courbes rentrant dans l'histoire
Que nos coeurs s'emballant
Affronte la poignée gaz à fond
Ne cherchant que plaisir et sensations
Les trouillards au mitard
Les déjantés au nirvana du motard...
Que les feuilles mortes s'écartent devant nos roues
Que le brouillard disparraisse à notre approche
Que la pluie sèche au contact de ta surface, plus de boue
Que ta surface douce et rapeuse, que nos pneus crochent
Nous emmenant dans les lointains plaisir de l'adrénaline
La puissance s'emballent dans nos machines
L'air dans nos casques nous enivre et nous drogue
Le bruit de nos machines s'éclament sans épilogue
Si tu continue tu vas pouvoir le faire passer dans le Guiness
Car avec cette belle contribution de notre ami l’Ours Poète,
Nous sommes encore loin d’apercevoir le hapyness !
Alors, comme le dit Jack : « A vos rimes… » Et que sa pète !
Ou comment détruire un bel élan poétique... (je devrais dire un orignal!)
J'avais dit: faire péter .....les vers!
Comment on va ratrapper tout ça maintenant?
" Prout!
Ou comment détruire un bel élan poétique... je devrais dire un orignal!
Qu'avec cette pathétique onomatopée de bas de croupe
Je vous envoie depuis le Canada mes sauvages relents animals!"
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#106encore un peu d'inspiration, même si ma tête va ailleurs ce soir...
Oh, Tristesse... Me Voici, Moi !
Salut à toi et bienvenu.
Ne tarde pas à te montrer sur la route.
à moins que l'hiver arrivant tu la redoutes
et la neige tombant ne te fasse partir trébuchant....
Ou que la glace ne te laisse de glace...
tremblotant comme un vieux chiffon blanc....
Tout frileux au coin du feu...
Accompagné de sa tendre aimée
Si elle ne t'a pas déjà plaquée
Une maîtresse saurait la remplacer
Comme un amant dans son élan ...
Emporté par la route dans de folles virées...
Son amant s'en allait gaîment
Dans les entrelas, qui comme des bras, l'enlaçait
Tendre maîtresse, toute enrubannée, qui t’aurait fait la promesse…
qu'un jour peut être elle te montrerais ses fesses....
quand après t’avoir "enfumé", elle t’attendrait au tournant.
Tournant de la vie lorsque tu boiras la coupe jusqu'à la lie...
Tu lui sortiras ta panoplie pour lui montrer ton tourment...
Un moment d'égarement et plus tard la venue d'un enfant….
Mais n’est-ce pas folie ?
Ou consécration … le Motard eu un moutard avec sa Ruth !
Sachant que la Motarde vint de Dijon,
ne nous prends pas pour des pigeons...
Et ne fait pas l’erreur de ceux qui ont déjà pris la route,
pensant n’avoir plus aucun doute !
Car après avoir tourné la poignée à fond,
Ils se sont fait plumer comme des dindons!
Le dindon comme tout un chacun le sait étant membré comme un pinson
Il devenait alors urgent de lui récupérer l'intégralité de sa toison...
Mais tu peux toujours courir et faire de beaux sourires
Lorsque la maréchaussée t’aura dans sa ligne de mire
Pleures ta toison car tu seras tondu comme un mouton
Qui bien utile dans l'hiver rigoureux
dans ta doublure de mouton tu es heureux
Oh Dieu des Motards, aide nous à les voir s'envoler
nous laissant avec la route convolé
Au guidon de nos belles chamarées
Qui laisse froid les hommes en habits bleu foncé
Seigneurs du bitume noir
Enroule ton long rubans
Nous créants des courbes rentrant dans l'histoire
Que nos coeurs s'emballant
Affronte la poignée gaz à fond
Ne cherchant que plaisir et sensations
Les trouillards au mitard
Les déjantés au nirvana du motard...
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#107Ca vient tout seul cette inspiration
C'est beau

Pas rancunier, mais pas amnésique non plus ! Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait (Mark Twain)
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#108Oui, c'est naturel chez moi...
Généralement, il me faut 5 à 10 min pour noicir une feuille A4...
Et cela depuis mon adolescence...
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#109Bin moi je suis plus fort , je prend power point , fait une page noir , je l imprime sur ma laser et 15 seconde plus tard ma feuille et noircie
Ok je connais le chemin ...

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#110mdr...

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#111mdr...

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#112Salut à toi et bienvenu.
Ne tarde pas à te montrer sur la route.
à moins que l'hiver arrivant tu la redoutes
et la neige tombant ne te fasse partir trébuchant....
Ou que la glace ne te laisse de glace...
tremblotant comme un vieux chiffon blanc....
Tout frileux au coin du feu...
Accompagné de sa tendre aimée
Si elle ne t'a pas déjà plaquée
Une maîtresse saurait la remplacer
Comme un amant dans son élan ...
Emporté par la route dans de folles virées...
Son amant s'en allait gaîment
Dans les entrelas, qui comme des bras, l'enlaçait
Tendre maîtresse, toute enrubannée, qui t’aurait fait la promesse…
qu'un jour peut être elle te montrerais ses fesses....
quand après t’avoir "enfumé", elle t’attendrait au tournant.
Tournant de la vie lorsque tu boiras la coupe jusqu'à la lie...
Tu lui sortiras ta panoplie pour lui montrer ton tourment...
Un moment d'égarement et plus tard la venue d'un enfant….
Mais n’est-ce pas folie ?
Ou consécration … le Motard eu un moutard avec sa Ruth !
Sachant que la Motarde vint de Dijon,
ne nous prends pas pour des pigeons...
Et ne fait pas l’erreur de ceux qui ont déjà pris la route,
pensant n’avoir plus aucun doute !
Car après avoir tourné la poignée à fond,
Ils se sont fait plumer comme des dindons!
Le dindon comme tout un chacun le sait étant membré comme un pinson
Il devenait alors urgent de lui récupérer l'intégralité de sa toison...
Mais tu peux toujours courir et faire de beaux sourires
Lorsque la maréchaussée t’aura dans sa ligne de mire
Pleures ta toison car tu seras tondu comme un mouton
Qui bien utile dans l'hiver rigoureux
dans ta doublure de mouton tu es heureux
Oh Dieu des Motards, aide nous à les voir s'envoler
nous laissant avec la route convolé
Au guidon de nos belles chamarées
Qui laisse froid les hommes en habits bleu foncé
Seigneurs du bitume noir
Enroule ton long rubans
Nous créants des courbes rentrant dans l'histoire
Que nos coeurs s'emballant
Affronte la poignée gaz à fond
Ne cherchant que plaisir et sensations
Les trouillards au mitard
Les déjantés au nirvana du motard...
Que les feuilles mortes s'écartent devant nos roues
Que le brouillard diparraisse à notre approche
Que la pluie sèche au contact de ta surface, plus de boue
Que ta surface douce et rapeuse, que nos pneus crochent
Nous emmenant dans les lointains plaisir de l'adrénaline
La puissance s'emballent dans nos machines
L'air dans nos casques nous enivre et nous drogue
Le bruit de nos machines s'éclament sans épilogue
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#113Si tu continue tu vas pouvoir le faire passer dans le Guiness
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#114Non, le plus long poème date de la renaissance, et il fait un ouvrage de la bible d'un bout à l'autre, tout en alexandrin (vers en 12 pied)...
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#115oups
j'savais pas ça moi
Pourquoi
parce que j'ai jamais vu un aussi long poème et fait par plusieurs personnes

Je trouve ça chouette
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#116C'est vrai mais au départ ce n'était pas prévu mais je suis content d'avoir également apporté une pierre à cet édifice...
Alors à vos crayons
Pas rancunier, mais pas amnésique non plus ! Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait (Mark Twain)
Inscription: 27/01/2006
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#117Car avec cette belle contribution de notre ami l’Ours Poète,
Nous sommes encore loin d’apercevoir le hapyness !
Alors, comme le dit Jack : « A vos rimes… » Et que sa pète !
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#118Tcheu c'est l'air du Canada qui te rends comme ça
Dans un si grand pays tu devrais retrouver une âme de poète non

Pas rancunier, mais pas amnésique non plus ! Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait (Mark Twain)
Inscription: 27/01/2006
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#119J'avais dit: faire péter .....les vers!
Comment on va ratrapper tout ça maintenant?
" Prout!
Ou comment détruire un bel élan poétique... je devrais dire un orignal!
Qu'avec cette pathétique onomatopée de bas de croupe
Je vous envoie depuis le Canada mes sauvages relents animals!"
Tu veux la jouer comme ça?

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#120mdrrrrr comment va ?