Tu as de l'avenir, c'est bien : de toi même, cette grossière erreur tu as effectué la correction s'imposant ! A l'avenir, ne pense qu'à la promotion de la langue de Molière, sauf lorsque tu luttes, de toute tes forces, contre le rhumatisme du poignet droit... A coin, toujours, mais en français !!!
Bref...la culture c'est comme la confiture: moins on en a plus on l'étale... Et puis apparemment tu ne sais pas encore accorder correctement certains pronoms.
Pour les vers c'est pas si mal, mais en Alexandrin ça deviens plus dur hein?
Tu as de l'avenir, c'est bien : de toi même, cette grossière erreur tu as effectué la correction s'imposant ! A l'avenir, ne pense qu'à la promotion de la langue de Molière, sauf lorsque tu luttes, de toute tes forces, contre le rhumatisme du poignet droit... A coin, toujours, mais en français !!!
Bref...la culture c'est comme la confiture: moins on en a plus on l'étale... Et puis apparemment tu ne sais pas encore accorder correctement certains pronoms.
Pour les vers c'est pas si mal, mais en Alexandrin ça deviens plus dur hein?
Si tu t'adresse à Joe....je crois que l'effort qu'il a fourni a dû l'achever! :lol:.....et il doit être mort!
Salut à toi et bienvenu.
Ne tarde pas à te montrer sur la route.
à moins que l'hiver arrivant tu la redoutes
et la neige tombant ne te fasse partir trébuchant....
Ou que la glace ne te laisse de glace...
tremblotant comme un vieux chiffon blanc....
Tout frileux au coin du feu...
Accompagné de sa tendre aimée
Si elle ne t'a pas déjà plaquée
Une maîtresse saurait la remplacée
Comme un amant dans son élan ...
emporté par la route dans de folles virées...
Son amant s'en allait gaîment
dans les entre las qui comme des bras l'enlaçait
Tendre maîtresse, toute enrubannée, qui t’aurait fait la promesse…
qu'un jour peut être elle te montrerais ses fesses....
quand après t’avoir "enfumé", elle t’attendrait au tournant.
Tournant de la vie lorsque tu boiras la coupe jusqu'à la lie...
Tu lui sortiras ta panoplie pour lui montrer ton tourment...
Un moment d'égarement et plus tard la venue d'un enfant...
Mais n’est-ce pas folie ?
Ou consécration … le Motard eu un moutard avec sa Ruth !
Sachant que la Motarde vint de Dijon, ne nous prends pas pour des pigeons...
Et ne fait pas l’erreur de ceux qui ont déjà pris la route,
pensant n’avoir plus aucun doute !
Car après avoir tourné la poignée à fond,
Ils se sont fait plumer comme des dindons!
Le dindon comme tout un chacun le sait étant membré comme un pinson
Il devenait alors urgent de lui récupérer l'intégralité de sa toison...
Mais tu peux toujours courir et faire de beaux sourires
Lorsque la maréchaussée t’aura dans sa ligne de mire
Pleures ta toison car tu seras tondu comme un mouton
mais je ne suis ni parti ni mort, ni réfrigéré, ni prêt à déposer ma bêbête pour l'hiver !!! Simplement une toute grosse merde sur mon ordi, soit dit en passant un peu trop cher et musclé pour pouvoir m'en offrir un nouveau (!), alors vite ces quelques lignes depuis le pc d'un pote !
Merci pour votre prose, gentes damoiselles, gents damoiseaux... Que votre ramage se plait à titiller mes neurones, et à les distraire, et à les enchanter ! Continuez, mes braves !! Continuez, vous me plaisez... mais aussi !!!
Salut à toi et bienvenu.
Ne tarde pas à te montrer sur la route.
à moins que l'hiver arrivant tu la redoutes
et la neige tombant ne te fasse partir trébuchant....
Ou que la glace ne te laisse de glace...
tremblotant comme un vieux chiffon blanc....
Tout frileux au coin du feu...
Accompagné de sa tendre aimée
Si elle ne t'a pas déjà plaquée
Une maîtresse saurait la remplacée
Comme un amant dans son élan ...
emporté par la route dans de folles virées...
Son amant s'en allait gaîment
dans les entre las qui comme des bras l'enlaçait
Tendre maîtresse, toute enrubannée, qui t’aurait fait la promesse…
qu'un jour peut être elle te montrerais ses fesses....
quand après t’avoir "enfumé", elle t’attendrait au tournant.
Tournant de la vie lorsque tu boiras la coupe jusqu'à la lie...
Tu lui sortiras ta panoplie pour lui montrer ton tourment...
Un moment d'égarement et plus tard la venue d'un enfant...
Mais n’est-ce pas folie ?
Ou consécration … le Motard eu un moutard avec sa Ruth !
Sachant que la Motarde vint de Dijon, ne nous prends pas pour des pigeons...
Et ne fait pas l’erreur de ceux qui ont déjà pris la route,
pensant n’avoir plus aucun doute !
Car après avoir tourné la poignée à fond,
Ils se sont fait plumer comme des dindons!
Le dindon comme tout un chacun le sait étant membré comme un pinson
Il devenait alors urgent de lui récupérer l'intégralité de sa toison...
Mais tu peux toujours courir et faire de beaux sourires
Lorsque la maréchaussée t’aura dans sa ligne de mire
Pleures ta toison car tu seras tondu comme un mouton
une jolie guirlande de noël... comme c'est joli...
le but est de faire sauter le nouveau serveur High-tec de motards.chhh ou quoi ??
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
Salut à toi et bienvenu.
Ne tarde pas à te montrer sur la route.
à moins que l'hiver arrivant tu la redoutes
et la neige tombant ne te fasse partir trébuchant....
Ou que la glace ne te laisse de glace...
tremblotant comme un vieux chiffon blanc....
Tout frileux au coin du feu...
Accompagné de sa tendre aimée
Si elle ne t'a pas déjà plaquée
Une maîtresse saurait la remplacée
Comme un amant dans son élan ...
emporté par la route dans de folles virées...
Son amant s'en allait gaîment
dans les entre las qui comme des bras l'enlaçait
Tendre maîtresse, toute enrubannée, qui t’aurait fait la promesse…
qu'un jour peut être elle te montrerais ses fesses....
quand après t’avoir "enfumé", elle t’attendrait au tournant.
Tournant de la vie lorsque tu boiras la coupe jusqu'à la lie...
Tu lui sortiras ta panoplie pour lui montrer ton tourment...
Un moment d'égarement et plus tard la venue d'un enfant...
Mais n’est-ce pas folie ?
Ou consécration … le Motard eu un moutard avec sa Ruth !
Sachant que la Motarde vint de Dijon, ne nous prends pas pour des pigeons...
Et ne fait pas l’erreur de ceux qui ont déjà pris la route,
pensant n’avoir plus aucun doute !
Car après avoir tourné la poignée à fond,
Ils se sont fait plumer comme des dindons!
Le dindon comme tout un chacun le sait étant membré comme un pinson
Il devenait alors urgent de lui récupérer l'intégralité de sa toison...
Mais tu peux toujours courir et faire de beaux sourires
Lorsque la maréchaussée t’aura dans sa ligne de mire
Pleures ta toison car tu seras tondu comme un mouton
Qui bien utile dans l'hiver riguoureux
dans ta doublure de mouton tu es heureux
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
Bon aillant reçu une gentille invitation, je me suis permis de reprendre votre poème et de le continuer.
Oh, Tristesse... Me Voici, Moi !
Salut à toi et bienvenu.
Ne tarde pas à te montrer sur la route.
à moins que l'hiver arrivant tu la redoutes
et la neige tombant ne te fasse partir trébuchant....
Ou que la glace ne te laisse de glace...
tremblotant comme un vieux chiffon blanc....
Tout frileux au coin du feu...
Accompagné de sa tendre aimée
Si elle ne t'a pas déjà plaquée
Une maîtresse saurait la remplacer
Comme un amant dans son élan ...
Emporté par la route dans de folles virées...
Son amant s'en allait gaîment
Dans les entrelas, qui comme des bras, l'enlaçait
Tendre maîtresse, toute enrubannée, qui t’aurait fait la promesse…
qu'un jour peut être elle te montrerais ses fesses....
quand après t’avoir "enfumé", elle t’attendrait au tournant.
Tournant de la vie lorsque tu boiras la coupe jusqu'à la lie...
Tu lui sortiras ta panoplie pour lui montrer ton tourment...
Un moment d'égarement et plus tard la venue d'un enfant….
Mais n’est-ce pas folie ?
Ou consécration … le Motard eu un moutard avec sa Ruth !
Sachant que la Motarde vint de Dijon,
ne nous prends pas pour des pigeons...
Et ne fait pas l’erreur de ceux qui ont déjà pris la route,
pensant n’avoir plus aucun doute !
Car après avoir tourné la poignée à fond,
Ils se sont fait plumer comme des dindons!
Le dindon comme tout un chacun le sait étant membré comme un pinson
Il devenait alors urgent de lui récupérer l'intégralité de sa toison...
Mais tu peux toujours courir et faire de beaux sourires
Lorsque la maréchaussée t’aura dans sa ligne de mire
Pleures ta toison car tu seras tondu comme un mouton
Qui bien utile dans l'hiver rigoureux
dans ta doublure de mouton tu es heureux
Oh Dieu des Motards, aide nous à les voir s'envoler
nous laissant avec la route convolé
Au guidon de nos belles chamarées
Qui laisse froid les hommes en habits bleu foncé
Bon aillant reçu une gentille invitation, je me suis permis de reprendre votre poème et de le continuer.
Oh, Tristesse... Me Voici, Moi !
Salut à toi et bienvenu.
Ne tarde pas à te montrer sur la route.
à moins que l'hiver arrivant tu la redoutes
et la neige tombant ne te fasse partir trébuchant....
Ou que la glace ne te laisse de glace...
tremblotant comme un vieux chiffon blanc....
Tout frileux au coin du feu...
Accompagné de sa tendre aimée
Si elle ne t'a pas déjà plaquée
Une maîtresse saurait la remplacer
Comme un amant dans son élan ...
Emporté par la route dans de folles virées...
Son amant s'en allait gaîment
Dans les entrelas, qui comme des bras, l'enlaçait
Tendre maîtresse, toute enrubannée, qui t’aurait fait la promesse…
qu'un jour peut être elle te montrerais ses fesses....
quand après t’avoir "enfumé", elle t’attendrait au tournant.
Tournant de la vie lorsque tu boiras la coupe jusqu'à la lie...
Tu lui sortiras ta panoplie pour lui montrer ton tourment...
Un moment d'égarement et plus tard la venue d'un enfant….
Mais n’est-ce pas folie ?
Ou consécration … le Motard eu un moutard avec sa Ruth !
Sachant que la Motarde vint de Dijon,
ne nous prends pas pour des pigeons...
Et ne fait pas l’erreur de ceux qui ont déjà pris la route,
pensant n’avoir plus aucun doute !
Car après avoir tourné la poignée à fond,
Ils se sont fait plumer comme des dindons!
Le dindon comme tout un chacun le sait étant membré comme un pinson
Il devenait alors urgent de lui récupérer l'intégralité de sa toison...
Mais tu peux toujours courir et faire de beaux sourires
Lorsque la maréchaussée t’aura dans sa ligne de mire
Pleures ta toison car tu seras tondu comme un mouton
Qui bien utile dans l'hiver rigoureux
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Inscription: 05/09/2006
Localisation: Près des enfers
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#91Bref...la culture c'est comme la confiture: moins on en a plus on l'étale... Et puis apparemment tu ne sais pas encore accorder correctement certains pronoms.
Pour les vers c'est pas si mal, mais en Alexandrin ça deviens plus dur hein?
Inscription: 27/01/2006
Localisation: Genève
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#92Si tu t'adresse à Joe....je crois que l'effort qu'il a fourni a dû l'achever!
:lol:.....et il doit être mort!

Inscription: 18/01/2006
Localisation: Underground....
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#93P'tain toutes les citations de ouf!!!

Save the planet, kill humans.
Inscription: 13/08/2002
Localisation: Saint-Cergue
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#94Le dindon comme tout un chacun le sait étant membré comme un pinson
Il devenait alors urgent de lui récupérer l'intégralité de sa toison...
Je suis capable du meilleur comme du pire mais dans le pire, c'est moi le meilleur...

Inscription: 27/01/2006
Localisation: Genève
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#95Mais tu peux toujours courir et faire de beaux sourires
Lorsque la maréchaussée t’aura dans sa ligne de mire
Pleures ta toison car tu seras tondu comme un mouton
Inscription: 03/09/2006
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#96On n'écris pas ordi , mais ordinateur !
Tu fumes quoi ? j'en veux ?
Inscription: 28/09/2006
Localisation: La Croix
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#97une jolie guirlande de noël... comme c'est joli...
le but est de faire sauter le nouveau serveur High-tec de motards.chhh ou quoi ??
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
Inscription: 18/03/2006
Localisation: Sierre
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#98Page 6
Non il te faut lire puis lorsque l'inspiration te vient, faire la suite de ce poème
Pas rancunier, mais pas amnésique non plus ! Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait (Mark Twain)
Inscription: 28/09/2006
Localisation: La Croix
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#99Qui bien utile dans l'hiver riguoureux
dans ta doublure de mouton tu es heureux
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
Inscription: 28/09/2006
Localisation: La Croix
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#100erreure corrigée
ça te va Jack's
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
Inscription: 18/03/2006
Localisation: Sierre
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#101C'est pas une erreur... moi tout me va... enfin presque...
Pas rancunier, mais pas amnésique non plus ! Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait (Mark Twain)
Inscription: 30/11/2003
Localisation: BERNEX
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#102Bon aillant reçu une gentille invitation, je me suis permis de reprendre votre poème et de le continuer.
Oh, Tristesse... Me Voici, Moi !
Salut à toi et bienvenu.
Ne tarde pas à te montrer sur la route.
à moins que l'hiver arrivant tu la redoutes
et la neige tombant ne te fasse partir trébuchant....
Ou que la glace ne te laisse de glace...
tremblotant comme un vieux chiffon blanc....
Tout frileux au coin du feu...
Accompagné de sa tendre aimée
Si elle ne t'a pas déjà plaquée
Une maîtresse saurait la remplacer
Comme un amant dans son élan ...
Emporté par la route dans de folles virées...
Son amant s'en allait gaîment
Dans les entrelas, qui comme des bras, l'enlaçait
Tendre maîtresse, toute enrubannée, qui t’aurait fait la promesse…
qu'un jour peut être elle te montrerais ses fesses....
quand après t’avoir "enfumé", elle t’attendrait au tournant.
Tournant de la vie lorsque tu boiras la coupe jusqu'à la lie...
Tu lui sortiras ta panoplie pour lui montrer ton tourment...
Un moment d'égarement et plus tard la venue d'un enfant….
Mais n’est-ce pas folie ?
Ou consécration … le Motard eu un moutard avec sa Ruth !
Sachant que la Motarde vint de Dijon,
ne nous prends pas pour des pigeons...
Et ne fait pas l’erreur de ceux qui ont déjà pris la route,
pensant n’avoir plus aucun doute !
Car après avoir tourné la poignée à fond,
Ils se sont fait plumer comme des dindons!
Le dindon comme tout un chacun le sait étant membré comme un pinson
Il devenait alors urgent de lui récupérer l'intégralité de sa toison...
Mais tu peux toujours courir et faire de beaux sourires
Lorsque la maréchaussée t’aura dans sa ligne de mire
Pleures ta toison car tu seras tondu comme un mouton
Qui bien utile dans l'hiver rigoureux
dans ta doublure de mouton tu es heureux
Oh Dieu des Motards, aide nous à les voir s'envoler
nous laissant avec la route convolé
Au guidon de nos belles chamarées
Qui laisse froid les hommes en habits bleu foncé
Inscription: 09/10/2006
Localisation: Lausanne
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#103JOLIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII
Inscription: 30/11/2003
Localisation: BERNEX
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#104Je suis pas un poète pour rien...
Inscription: 09/10/2006
Localisation: Lausanne
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#105C est bien vrai