Hier j'ai vu Les Infiltrés Avec Dicaprio, Damon et Nicholson.
Vérdict: tout simplement génial! Du grand grand Scorsese!! Une vraie tuerie dans les 2 sens du terme.
Dire que Scorsese a du mal à récolter de l'argent pour ses films.. C'est à ni rien comprendre..
The Last Samouraï
C'est avec une grande appréhension que j'ai regardé ce film. La raison se nomme Tom Cruise. Comme bcp je l'apprécie lorsqu'il ne produit pas et lorsqu'il est dirigé par un bon. (Minority Report; The War of The Worlds...) L'histoire purement japonaise m'a plu, ce samouraï contre le gouvernement qui abuse de la naïveté du jeune Empereur. Watanabe est d'ailleurs très juste, surprenant ? Les batailles sont bien filmée, les combats corps à corps lisibles. Par contre cela manque d'intensité et d'implication du spectateur. Autre souci et de taille, c'est l'intégration des américains, donc de Tom. J'ai trouvé cela ridicule. L'intrigue nipponne se suffisait à elle-même. L'idée du méchant américain qui se rend compte de ces erreurs et décide de combattre contre ces anciens camarades est de trop et mal intégrée. Reste de beaux paysages et de magnifiques costume.
3/6
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Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
Letters From Iwojima
Suivre ces personnages se rendre à une mort certaine... Marquant
Mise en scène impeccable, beau travail de contraste noir/blanc accentuant l'état d'esprit des combattants, les flash-back sont très bien intégrés sans lourdeur, au contraire... (Le repas en Californie...). L'image ternie faisant ressortir le symbole Impérial japonais.
Certaines scènes restent longtemps en tête Le suicide à la grenade entre autre.
La Philosophie, le Devoir et l'Honneur nippon n'est pas caricaturé mais mis en valeur.
Une musique simple, pure.
5/6
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
The Last of the Mohicans
Que dire sur ce film qui n'ait pas déjà été dit ? Des images magnifiques de Michael Mann qui se marient parfaitement à la musique de Trevor Jones. A ce demander qui a fait quoi en 1er... Le scénario n'est pas des plus simpliste ce qui nous rend attentif au moindre élément. Les protagonistes sont habités par leur rôle, Daniel Day-Lewis est imperial. Sans parler de Magua, quel gueule. Petit bémol selon moi, c'est Elisabeth Stowe qui semble en faire un peu trop, la faute au doublage ? En tout cas, remis une seconde fois la poursuite finale, anthologique et poigant.
5/6
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
300 de Zack Snyder (précédent film : Down of the Dead)
Bon alors en VOST. J'ai pris ma claque espérée. Les apréhensions ressenties suites au visionnage d'extrait, les ralentis/accelerés; arrières
plans vide; etc, ont toutes disparuent lors de la vision cinéma. J'ai été totalement happé par la mise en scène et le style graphique. Ces spartiates, quel charisme. le "This is Spartan", pourtant archi-vu et revu m'a fait dresser... les poils. La reine est d'une beauté hypnotisante, jusqu'a ce qu'elle soit souillée. Butler en impose, son 1er face à face avec Xersès démontre la force (folie) des Spartiates qui sera confirmée lors de la dernière confrontation.
5/6
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
Der Untergang
Beau film. Une réalisation très efficace, nous côtoyons les personnages dans leur bunker. L'interprétation d'Hitler par Bruno Ganz est magistrale. Les autre acteurs sont également très bon. J'ai ressenti quelques longueurs et l'histoire du gosse sur la fin, un peu trop gentillette. Si mes souvenirs sont bons, sa sortie avait suscité une polémique je crois, surtout en France. Ridicule. Adolf Hitler était un être humain, et oui. Ce qui est bien le côté le plus inquiétant.
5/6
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
Assault on Precinpt 13 de Carpenter bien sûr
Scénario très simple mais exploité de manière exemplaire. Réalisation efficace et la musique est parfaite. Je ne peux pas en dire autant de l'interprétation, LE défaut du film.
4.5/6
Happy Feet
Incroyable de réalisme graphique, séquences immersives à souhait (les chants; la scène de toboggan bien meilleur que dans Ice Age). La scène dans le "zoo" est déprimante. Ensuite je décroche, la fin use de raccourcis. Dommage
4.5/6
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Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
Sunshine
ATTENTION SPOILER
Cela faisait longtemps qu'on avait pas eu l'occasion en Suisse de voir un film de SF (SW ep 3 ??). En voyant le réalisateur et le sujet, le scénario débutant très scientifiquement part ensuite dans un trip fantastiquo-mystiquo-thriller très cohérent, l'impatience était grandissante. Alors des les premières scènes, je plonge littéralement dedans. Le fait de débuter le film sans images terrestre y est pour beaucoup dans l'immersion.
Les problèmes, élément important et attendu de tous dans un film "d'enfermé", arrivent assez rapidement. Le panneau solaire, endommagé suite à une erreur de calcul, sera réparé par le capitaine et du héro de 28 days laters et d'une tension soutenue. Et lorsque Cassy l'ordinateur de bord se croit dans 2001 et fait des siennes cela nous donne un 1er décès graphiquement magnifique, tel un raz-de-marée de feu.
Autre emmerde prévisible, dès l'abordage à Icarus I, 2ème partie du métrage. Ca part dans une direction beaucoup moins scientifique. C'est du Event Horizon en puissance. Vaisseau fantôme, vidéo énigmatique, images subliminales, etc. Haletant. La mort de 2 autres personnages dont l'une à nouveau magistrale, celle du docteur brûlé vif en admirant une dernière fois notre astre.
Le prochain coup de poignard survient lors du décompte des heures de l'équipage et l'annonce d'une 5ème personne, inconnue à bord. Totalement imprévue (je lis déjà certain "Ouais trop que je m'y attendais, c'est logique"). Le film change de rythme et devient beaucoup plus rapide. Ce second Sam Neill suit ses convictions dictées son Dieu (Râ ?) et tente de saboter Icarus II. Nouveau sacrifice d'un protagoniste grandiose, celle de Harvey (je crois), lente, sombre et glaciale, contrastant avec la proximité du soleil.
Mise en scène maîtrisée et magistrale dans les 3/4 du film, entre gros plan, sentiment exigu. On a le droit a de vrais tableaux; toutes les observations du soleil dans la chambre de recueillement; le passage de Mercure; Les plans extérieurs. Certaines longueurs plombent la 1ère partie du film. Je fus beaucoup dérangé par les arrêts caméra qui surviennent à la fin, dans la bombe. Le personnage qui se suicide aurait mérité une plus grande profondeur.
Mention spéciale à la séquence de séparation entre l'Icarus II et la bombe, la fusion musique/image m'a fait dressé les poils.
5/6
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
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#316Hier j'ai vu Les Infiltrés Avec Dicaprio, Damon et Nicholson.
Vérdict: tout simplement génial! Du grand grand Scorsese!! Une vraie tuerie dans les 2 sens du terme.
Dire que Scorsese a du mal à récolter de l'argent pour ses films.. C'est à ni rien comprendre..
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#317Ouais il est vraiment génial ce film !!! La fin ma complétement bleufée !!! Tu t'y attends pas du tout !!
Les roux sont la preuve que dieux existe... et qu'il a de l'humour.#Banière censurée#https://contresense.wordpress.com
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#318THE L WORD !!!!!
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#319Est-ce que quelqu'un a vue Apocalipto?
Sinon dimanche j'ai maté Tout le monde déteste Chris... trop bon!!!
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#320Ouais....ca va .. c'est quand même plus sympa la version original avec la voie de Chris Rock !!!
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#321désolé chuis pas un english verrie goude!!!
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#322Quoi c'est moi que tu traite de gourde là !?
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#323J'oserai jamais!!
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#324Up !!
The Last Samouraï
C'est avec une grande appréhension que j'ai regardé ce film. La raison se nomme Tom Cruise. Comme bcp je l'apprécie lorsqu'il ne produit pas et lorsqu'il est dirigé par un bon. (Minority Report; The War of The Worlds...) L'histoire purement japonaise m'a plu, ce samouraï contre le gouvernement qui abuse de la naïveté du jeune Empereur. Watanabe est d'ailleurs très juste, surprenant ? Les batailles sont bien filmée, les combats corps à corps lisibles. Par contre cela manque d'intensité et d'implication du spectateur. Autre souci et de taille, c'est l'intégration des américains, donc de Tom. J'ai trouvé cela ridicule. L'intrigue nipponne se suffisait à elle-même. L'idée du méchant américain qui se rend compte de ces erreurs et décide de combattre contre ces anciens camarades est de trop et mal intégrée. Reste de beaux paysages et de magnifiques costume.
3/6
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Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
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#325Letters From Iwojima

Suivre ces personnages se rendre à une mort certaine... Marquant
Mise en scène impeccable, beau travail de contraste noir/blanc accentuant l'état d'esprit des combattants, les flash-back sont très bien intégrés sans lourdeur, au contraire... (Le repas en Californie...). L'image ternie faisant ressortir le symbole Impérial japonais.
Certaines scènes restent longtemps en tête Le suicide à la grenade entre autre.
La Philosophie, le Devoir et l'Honneur nippon n'est pas caricaturé mais mis en valeur.
Une musique simple, pure.
5/6
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
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#326The Last of the Mohicans

Que dire sur ce film qui n'ait pas déjà été dit ? Des images magnifiques de Michael Mann qui se marient parfaitement à la musique de Trevor Jones. A ce demander qui a fait quoi en 1er... Le scénario n'est pas des plus simpliste ce qui nous rend attentif au moindre élément. Les protagonistes sont habités par leur rôle, Daniel Day-Lewis est imperial. Sans parler de Magua, quel gueule. Petit bémol selon moi, c'est Elisabeth Stowe qui semble en faire un peu trop, la faute au doublage ? En tout cas, remis une seconde fois la poursuite finale, anthologique et poigant.
5/6
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
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#327300 de Zack Snyder (précédent film : Down of the Dead)

Bon alors en VOST. J'ai pris ma claque espérée. Les apréhensions ressenties suites au visionnage d'extrait, les ralentis/accelerés; arrières
plans vide; etc, ont toutes disparuent lors de la vision cinéma. J'ai été totalement happé par la mise en scène et le style graphique. Ces spartiates, quel charisme. le "This is Spartan", pourtant archi-vu et revu m'a fait dresser... les poils. La reine est d'une beauté hypnotisante, jusqu'a ce qu'elle soit souillée. Butler en impose, son 1er face à face avec Xersès démontre la force (folie) des Spartiates qui sera confirmée lors de la dernière confrontation.
5/6
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#328Der Untergang

Beau film. Une réalisation très efficace, nous côtoyons les personnages dans leur bunker. L'interprétation d'Hitler par Bruno Ganz est magistrale. Les autre acteurs sont également très bon. J'ai ressenti quelques longueurs et l'histoire du gosse sur la fin, un peu trop gentillette. Si mes souvenirs sont bons, sa sortie avait suscité une polémique je crois, surtout en France. Ridicule. Adolf Hitler était un être humain, et oui. Ce qui est bien le côté le plus inquiétant.
5/6
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
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#329Assault on Precinpt 13 de Carpenter bien sûr

Scénario très simple mais exploité de manière exemplaire. Réalisation efficace et la musique est parfaite. Je ne peux pas en dire autant de l'interprétation, LE défaut du film.
4.5/6
Happy Feet

Incroyable de réalisme graphique, séquences immersives à souhait (les chants; la scène de toboggan bien meilleur que dans Ice Age). La scène dans le "zoo" est déprimante. Ensuite je décroche, la fin use de raccourcis. Dommage
4.5/6
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Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
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#330Sunshine
ATTENTION SPOILER
Cela faisait longtemps qu'on avait pas eu l'occasion en Suisse de voir un film de SF (SW ep 3 ??). En voyant le réalisateur et le sujet, le scénario débutant très scientifiquement part ensuite dans un trip fantastiquo-mystiquo-thriller très cohérent, l'impatience était grandissante. Alors des les premières scènes, je plonge littéralement dedans. Le fait de débuter le film sans images terrestre y est pour beaucoup dans l'immersion.
Les problèmes, élément important et attendu de tous dans un film "d'enfermé", arrivent assez rapidement. Le panneau solaire, endommagé suite à une erreur de calcul, sera réparé par le capitaine et du héro de 28 days laters et d'une tension soutenue. Et lorsque Cassy l'ordinateur de bord se croit dans 2001 et fait des siennes cela nous donne un 1er décès graphiquement magnifique, tel un raz-de-marée de feu.
Autre emmerde prévisible, dès l'abordage à Icarus I, 2ème partie du métrage. Ca part dans une direction beaucoup moins scientifique. C'est du Event Horizon en puissance. Vaisseau fantôme, vidéo énigmatique, images subliminales, etc. Haletant. La mort de 2 autres personnages dont l'une à nouveau magistrale, celle du docteur brûlé vif en admirant une dernière fois notre astre.
Le prochain coup de poignard survient lors du décompte des heures de l'équipage et l'annonce d'une 5ème personne, inconnue à bord. Totalement imprévue (je lis déjà certain "Ouais trop que je m'y attendais, c'est logique"). Le film change de rythme et devient beaucoup plus rapide. Ce second Sam Neill suit ses convictions dictées son Dieu (Râ ?) et tente de saboter Icarus II. Nouveau sacrifice d'un protagoniste grandiose, celle de Harvey (je crois), lente, sombre et glaciale, contrastant avec la proximité du soleil.
Mise en scène maîtrisée et magistrale dans les 3/4 du film, entre gros plan, sentiment exigu. On a le droit a de vrais tableaux; toutes les observations du soleil dans la chambre de recueillement; le passage de Mercure; Les plans extérieurs. Certaines longueurs plombent la 1ère partie du film. Je fus beaucoup dérangé par les arrêts caméra qui surviennent à la fin, dans la bombe. Le personnage qui se suicide aurait mérité une plus grande profondeur.
Mention spéciale à la séquence de séparation entre l'Icarus II et la bombe, la fusion musique/image m'a fait dressé les poils.

5/6
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan