ça m'a toujours fait chier ce genre de réactions
tu connais combien de circuits en Suisse?
Quand tu te feras choper à 110 au lieu de 80 et que ce sera la deuxième fois, t'auras aussi 1 an de retrait, ce sera aussi bien fait pour ta gueule?
pffff triste
Parfaitement d’accord avec Guiness!
Des « chauffards des paturages » nous le sommes tous à un moment ou un autre, pour une fraction de seconde ou une minute.
Ce genre de contrôle de vitesse, que se soit à La Tourne, au Jaun, à St Cergue, au Moll’ ou ailleur s’apparente à l’ouverture de la chasse … au motard ;
les contrôles s’effectuent de mars à octobre, dans des endroits relativement peu fréquentés, sur de longs bouts droits, en dehors des localités et généralement par beau temps !
C’est de la « régulation » de la population motarde par élimination des individus « dérangeants » !
ça m'a toujours fait chier ce genre de réactions
tu connais combien de circuits en Suisse?
Quand tu te feras choper à 110 au lieu de 80 et que ce sera la deuxième fois, t'auras aussi 1 an de retrait, ce sera aussi bien fait pour ta gueule?
pffff triste
Ben oui car je l'aurai fait en connaissance de cause...
Le fait de ne pas avoir de circuit en suisse (ce que je déplore) est une excuse pour rouler à 200 km/h sur route ouverte ??
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
Ben oui car je l'aurai fait en connaissance de cause...
Le fait de ne pas avoir de circuit en suisse (ce que je déplore) est une excuse pour rouler à 200 km/h sur route ouverte ??
non c'est pas une excuse. En tous cas, elle ne sera pas recevable par le juge. Pour moi, il n'a pas besoin d'excuse pour rouler à 200.
Eagle, je me sens moins seul
ça m'a toujours fait chier ce genre de réactions
tu connais combien de circuits en Suisse?
ben, y en a un pas très loin justement... à La Lignère...
Sauf que Lignières c'est plus un circuit... fini les courses !!! C'est le TCS qui en a fait un centre d'entraînement à la conduite... et c'est tout autre chose ! ...
Ben oui c'est bien triste car avant on pouvait y aller le mercredi après-midi et faire autant de tours qu'on voulait, librement. Et c'était pas cher.
Un seul virage à droite, tout le reste à gauche. Et il y avait même une jolie
serveuse à la buvette...
Juste pour comparer, le mec risque de la prison ferme alors qu'un couple de pédophiles (qui ont sévi pendant plusieurs années sur leur fils) ont été condamnés à du sursis...
Moralité, violez vos gosses mais respectez les limitations!
Juste pour comparer, le mec risque de la prison ferme alors qu'un couple de pédophiles (qui ont sévi pendant plusieurs années sur leur fils) ont été condamnés à du sursis...
Moralité, violez vos gosses mais respectez les limitations!
Comparaison des plus étrange et hors sujet
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
Juste pour comparer, le mec risque de la prison ferme alors qu'un couple de pédophiles (qui ont sévi pendant plusieurs années sur leur fils) ont été condamnés à du sursis...
Moralité, violez vos gosses mais respectez les limitations!
Comparaison des plus étrange et hors sujet
Et pourquoi?....pourquoi comparaison ne serait pas raison!?
Juste pour comparer, le mec risque de la prison ferme alors qu'un couple de pédophiles (qui ont sévi pendant plusieurs années sur leur fils) ont été condamnés à du sursis...
Moralité, violez vos gosses mais respectez les limitations!
Comparaison des plus étrange et hors sujet
Et pourquoi?....pourquoi comparaison ne serait pas raison!?
Car à moins de connaître tout les éléments qui constitue tel ou tel jugement, je ne vois comment pouvons nous comparer, peu importe le sujet...
Selon moi
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
Juste pour comparer, le mec risque de la prison ferme alors qu'un couple de pédophiles (qui ont sévi pendant plusieurs années sur leur fils) ont été condamnés à du sursis...
Moralité, violez vos gosses mais respectez les limitations!
Comparaison des plus étrange et hors sujet
Et pourquoi?....pourquoi comparaison ne serait pas raison!?
Car à moins de connaître tout les éléments qui constitue tel ou tel jugement, je ne vois comment pouvons nous comparer, peu importe le sujet...
Selon moi
Oui je comprend!...
Mais justement nous ne connaissons rien des détails, dans aucune de ces affaires! Donc, dans le but de comprendre, qu'est-ce qui nous empêcherais de les opposer!
Autrement dit, pourquoi ne pourrait-on pas analyser la soudaine férocité anti vitesse, pseudo sécuritaire, de nos gouvernements par opposition à des cas bien plus graves, mais dont la justice semble très bien s'en accomoder... !
PS: le TCS à d'ailleurs lancé une campagne sur le sujet, il me semble
Oui je comprend!...
Mais justement nous ne connaissons rien des détails, dans aucune de ces affaires! Donc, dans le but de comprendre, qu'est-ce qui nous empêcherais de les opposer! Autrement dit, pourquoi ne pourrait-on pas analyser la soudaine férocité anti vitesse, pseudo sécuritaire, de nos gouvernements par opposition à des cas bien plus graves, mais dont la justice semble très bien s'en accomoder... !
PS: le TCS à d'ailleurs lancé une campagne sur le sujet, il me semble
Excellente question....
Peut-être la simplicité à légiférer et donc à contrôler... ?? les infractions à la LCR sont plus facilement perceptible par les autorités ou autres personnes que celles du CO; du CCS ou du CP...
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
Je ne vois aucune simplicité dans la LCR! Mais c'est vrai qu'elle est plus facilement perceptible par chacun puisqu'elle "touche" plus de monde de tous milieux confondus!
J'ai retrouvé l'article du TCS, pour ceux que ça pourrait intéresser
Touring, 18/2006
Pour fixer la durée d’un retrait du permis de conduire, les autorités doivent tenir compte des circonstances ayant présidé à l’infraction. Le Tribunal fédéral tend pourtant à oublier ce principe et à procéder uniformément. Le chef du service juridique du Service des automobiles de Neuchâtel juge cette pratique anticonstitutionnelle.
Depuis l’introduction, début 2005, du système des sanctions en cascade, les automobilistes sont punis beaucoup plus durement que par le passé. Si un dépassement de vitesse de 25 km/h en localité (30 km/h hors localité, 35 km/h sur autoroute) se soldait jadis par un retrait de permis d’un mois, il faut désormais en compter trois! La situation est encore pire si un automobiliste réédite l’infraction dans une période de cinq ans. Alors que l’ancienne sanction prévoyait un mois de retrait, le permis, après le deuxième incident, s’envole pour une année. On imagine les conséquences pour les personnes utilisant un véhicule à des fins professionnelles. Des sanctions disproportionnées
Encore un exemple: qui dépasse à quatre reprises les limites de vitesse (ou commet une autre infraction grave) en 17 ans se retrouve à pied, dans un cas extrême, 3 mois la première fois, 12 mois la deuxième, 24 mois la troisième et, finalement, 60 mois la quatrième! Cela signifie que, dans le pire des cas, un instant d’inattention peut être puni par l’interdiction de conduire pendant cinq ans! Dans ces conditions, le principe de proportionnalité est-il encore respecté? Tandis que les voleurs, les escrocs et les cambrioleurs s’en sortent avec des peines avec sursis et ne doivent guère endurer de conséquences sociales ou professionnelles pour leur comportement, les automobilistes font l’objet de sanctions exagérées, souvent en raison d’une simple inattention. Autre son de cloche
Pendant la procédure de consultation, au milieu des années 1990, le Tribunal fédéral avait été l’un des rares à remettre en question le nouveau régime de retrait de permis: "Si un automobiliste circule à 130 km/h sur une semi-autoroute à trafic bidirectionnel (cas grave) cinq ans après un retrait facultatif d’un mois, le permis lui sera retiré pour une année au moins. Une telle sanction est disproportionnée. Si les amendements proposés devaient acquérir force de loi, le Tribunal fédéral devrait réexaminer les conséquences de sa jurisprudence concernant les cas graves."
Malheureusement, le Tribunal fédéral ne l’a pas fait jusqu’ici. Au contraire, dans deux arrêts récents, les juges de Lausanne ont repris intégralement pour les retraits de permis leur pratique uniforme qui date de l’ancien droit, alors que le Tribunal fédéral pourrait sans autre user de son influence pour rendre plus supportable cette pratique qu’il juge lui-même disproportionnée.
D’une part, au lieu de considérer uniformément comme cas graves les dépassements de vitesse de 25 km/h en localité (resp. 30 et 35 km/h), les juges pourraient se référer à l’art. 16, al. 3 de la loi sur la circulation routière et tenir à nouveau compte des circonstances lors de dépassements de vitesse. Ces circonstances sont notamment l’atteinte à la sécurité routière, l’état de la route et les conditions météorologiques, le moment de l’excès, la gravité de la faute et les antécédents du conducteur.
Deuxièmement, les juges auraient la possibilité de fixer des conditions plus restrictives pour qu’une infraction aux règles de la circulation soit tenue pour grave. Changement de pratique
Pour Cédric Mizel, avocat et chef du service juridique du Service des automobiles de Neuchâtel, la situation est claire: vu les conséquences excessivement dures et anticonstitutionnelles du nouveau régime de retrait de permis, les autorités et les juges sont tenus de modifier leur pratique pour les excès de vitesse. Dans un article paru dans une revue spécialisée (AJP/ PJA 9/2006), il souligne notamment que la démarche uniforme pour les retraits de permis est désuète.
Inscription: 08/06/2006
Localisation: Ch'tit bled du Val-de-Ruz / NE
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#31Ben non .... plus possible
Inscription: 27/01/2006
Localisation: Genève
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#32Parfaitement d’accord avec Guiness!
; 
Des « chauffards des paturages » nous le sommes tous à un moment ou un autre, pour une fraction de seconde ou une minute.
Ce genre de contrôle de vitesse, que se soit à La Tourne, au Jaun, à St Cergue, au Moll’ ou ailleur s’apparente à l’ouverture de la chasse … au motard
les contrôles s’effectuent de mars à octobre, dans des endroits relativement peu fréquentés, sur de longs bouts droits, en dehors des localités et généralement par beau temps !
C’est de la « régulation » de la population motarde par élimination des individus « dérangeants » !
Inscription: 28/09/2006
Localisation: La Croix
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#33Ben oui car je l'aurai fait en connaissance de cause...
Le fait de ne pas avoir de circuit en suisse (ce que je déplore) est une excuse pour rouler à 200 km/h sur route ouverte ??
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
Inscription: 01/09/2003
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#34non c'est pas une excuse. En tous cas, elle ne sera pas recevable par le juge. Pour moi, il n'a pas besoin d'excuse pour rouler à 200.
Eagle, je me sens moins seul
Inscription: 17/10/2004
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#35Ben oui c'est bien triste car avant on pouvait y aller le mercredi après-midi et faire autant de tours qu'on voulait, librement. Et c'était pas cher.
Un seul virage à droite, tout le reste à gauche. Et il y avait même une jolie
serveuse à la buvette...
Inscription: 27/01/2006
Localisation: Genève
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#36Non, c'est juste!
Inscription: 18/10/2001
Localisation: Montreux
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#37Tu vas pas me dire que tu t'es jamais lâché au volant (avec les gyrophares ça compte pas
)...
Inscription: 18/10/2001
Localisation: Montreux
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#38Juste pour comparer, le mec risque de la prison ferme alors qu'un couple de pédophiles (qui ont sévi pendant plusieurs années sur leur fils) ont été condamnés à du sursis...
Moralité, violez vos gosses mais respectez les limitations!
Inscription: 28/09/2006
Localisation: La Croix
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#39Comparaison des plus étrange et hors sujet
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
Inscription: 27/01/2006
Localisation: Genève
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#40Et pourquoi?....pourquoi comparaison ne serait pas raison!?
Inscription: 28/09/2006
Localisation: La Croix
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#41Car à moins de connaître tout les éléments qui constitue tel ou tel jugement, je ne vois comment pouvons nous comparer, peu importe le sujet...
Selon moi
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
Inscription: 27/01/2006
Localisation: Genève
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#42Oui je comprend!...
!
Mais justement nous ne connaissons rien des détails, dans aucune de ces affaires! Donc, dans le but de comprendre, qu'est-ce qui nous empêcherais de les opposer!
Autrement dit, pourquoi ne pourrait-on pas analyser la soudaine férocité anti vitesse, pseudo sécuritaire, de nos gouvernements par opposition à des cas bien plus graves, mais dont la justice semble très bien s'en accomoder...
PS: le TCS à d'ailleurs lancé une campagne sur le sujet, il me semble
Inscription: 28/09/2006
Localisation: La Croix
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#43Excellente question....
Peut-être la simplicité à légiférer et donc à contrôler... ?? les infractions à la LCR sont plus facilement perceptible par les autorités ou autres personnes que celles du CO; du CCS ou du CP...
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
Inscription: 27/01/2006
Localisation: Genève
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#44Je ne vois aucune simplicité dans la LCR! Mais c'est vrai qu'elle est plus facilement perceptible par chacun puisqu'elle "touche" plus de monde de tous milieux confondus!
Inscription: 27/01/2006
Localisation: Genève
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#45J'ai retrouvé l'article du TCS, pour ceux que ça pourrait intéresser
Touring, 18/2006
Pour fixer la durée d’un retrait du permis de conduire, les autorités doivent tenir compte des circonstances ayant présidé à l’infraction. Le Tribunal fédéral tend pourtant à oublier ce principe et à procéder uniformément. Le chef du service juridique du Service des automobiles de Neuchâtel juge cette pratique anticonstitutionnelle.
Depuis l’introduction, début 2005, du système des sanctions en cascade, les automobilistes sont punis beaucoup plus durement que par le passé. Si un dépassement de vitesse de 25 km/h en localité (30 km/h hors localité, 35 km/h sur autoroute) se soldait jadis par un retrait de permis d’un mois, il faut désormais en compter trois! La situation est encore pire si un automobiliste réédite l’infraction dans une période de cinq ans. Alors que l’ancienne sanction prévoyait un mois de retrait, le permis, après le deuxième incident, s’envole pour une année. On imagine les conséquences pour les personnes utilisant un véhicule à des fins professionnelles.
Des sanctions disproportionnées
Encore un exemple: qui dépasse à quatre reprises les limites de vitesse (ou commet une autre infraction grave) en 17 ans se retrouve à pied, dans un cas extrême, 3 mois la première fois, 12 mois la deuxième, 24 mois la troisième et, finalement, 60 mois la quatrième! Cela signifie que, dans le pire des cas, un instant d’inattention peut être puni par l’interdiction de conduire pendant cinq ans! Dans ces conditions, le principe de proportionnalité est-il encore respecté? Tandis que les voleurs, les escrocs et les cambrioleurs s’en sortent avec des peines avec sursis et ne doivent guère endurer de conséquences sociales ou professionnelles pour leur comportement, les automobilistes font l’objet de sanctions exagérées, souvent en raison d’une simple inattention.
Autre son de cloche
Pendant la procédure de consultation, au milieu des années 1990, le Tribunal fédéral avait été l’un des rares à remettre en question le nouveau régime de retrait de permis: "Si un automobiliste circule à 130 km/h sur une semi-autoroute à trafic bidirectionnel (cas grave) cinq ans après un retrait facultatif d’un mois, le permis lui sera retiré pour une année au moins. Une telle sanction est disproportionnée. Si les amendements proposés devaient acquérir force de loi, le Tribunal fédéral devrait réexaminer les conséquences de sa jurisprudence concernant les cas graves."
Malheureusement, le Tribunal fédéral ne l’a pas fait jusqu’ici. Au contraire, dans deux arrêts récents, les juges de Lausanne ont repris intégralement pour les retraits de permis leur pratique uniforme qui date de l’ancien droit, alors que le Tribunal fédéral pourrait sans autre user de son influence pour rendre plus supportable cette pratique qu’il juge lui-même disproportionnée.
D’une part, au lieu de considérer uniformément comme cas graves les dépassements de vitesse de 25 km/h en localité (resp. 30 et 35 km/h), les juges pourraient se référer à l’art. 16, al. 3 de la loi sur la circulation routière et tenir à nouveau compte des circonstances lors de dépassements de vitesse. Ces circonstances sont notamment l’atteinte à la sécurité routière, l’état de la route et les conditions météorologiques, le moment de l’excès, la gravité de la faute et les antécédents du conducteur.
Deuxièmement, les juges auraient la possibilité de fixer des conditions plus restrictives pour qu’une infraction aux règles de la circulation soit tenue pour grave.
Changement de pratique
Pour Cédric Mizel, avocat et chef du service juridique du Service des automobiles de Neuchâtel, la situation est claire: vu les conséquences excessivement dures et anticonstitutionnelles du nouveau régime de retrait de permis, les autorités et les juges sont tenus de modifier leur pratique pour les excès de vitesse. Dans un article paru dans une revue spécialisée (AJP/ PJA 9/2006), il souligne notamment que la démarche uniforme pour les retraits de permis est désuète.