le gag...comme si etre motard te rendait supérieur aux autres...Faut aller dire ça au mec qui nettoie les camping apres le bol d'or ou les 24h du Mans...
A vrai dire pour moi l'esprit motard à une époque où l'on est à tour de rôle piéton, automobiliste selon la météo ou les besoins me semble un tantinet galvaudé pour ne pas dire obsolète.
Etre un motard ça veut déjà dire devoir s'adapter aux exigences spécifiques de la moto en terme de sécurité et de confort. C'est aussi faire un tout avec son véhicule. Une sorte de fusion entre le pilote et l'engin. Une moto une fois qu'on l'a connait, on la sent par le biais des divers bruits et vibrations et on interagit en conséquence.
Je n'ai personnellement aucun plaisir à rouler avec une moto qui ne me plait pas esthétiquement ou qui soit dégueulasse. Alors que l'état de ma bagnole, qui est avant tout un véhicule utilitaire, m'indiffère complètement.
Comme le dit très bien Paul Peczon, conduire une moto est sans aucun doute la sensation la plus intense qu'une machine puisse provoquer.
Une expérience qui m'a faite rire, en apprentissage dans une grande boîte d'affinage de métaux précieux (une des leader mondiaux) :
J'étais jeune et beau, 18 ans, je débarque dans un département ne connaissant pas grand monde.
Le grand boss de la division, suisse-allemand sur les bords, froid et pas très causant passe dans le bureau, s'arrache la gorge pour dire un bonjour et repars....
Le soirs arrive, je sors du bureau, prends ma moto et rentre. Lendemain, retour bureau.
Le grand boss arrive vers moi, et :
"C'était toi sur la moto? Je t'ai vu en partant ! Moi aussi je fais de la moto, blablabla, ooooh tu preux me dire tu, moi c'est Jean.... Etc."
Tout le monde : . Une collègue m'a dit quelle ne l'avais jamais vu parler autant...
Ça m'a fait rire, car peu importe ton statut social, on peut se révéler, rapprocher dune façon inimaginable au travers de notre seule passion!
Et c'est ce que j'aime sur ce site, j'ai connu des dizaines de gens que j'adore et je ne sais pas tous ce qu'ils font, mais on se rencontre, on se tutoie sans savoir qui l'on a en-face... Nous sommes motards, sur un pied d'égalité, rien d'autre!
Parfois je me dis qu'avec un état d'esprit similaire, le monde se barrerait peut être moins en fenouil....
Pour moi, c'est aussi exactement ça, l'esprit motard. Peu importe qui tu es dans la vie, d'où tu viens. Tu fais partie de la communauté et tu te comportes comme tel.
J'en ai connu pas mal des grands pontes, que je ne savais pas qui ils étaient. Il n'y a pas de statut social plus élevé l'un comme l'autre. Cette barrière disparait et ouvre le monde à la communication, l'envie de se côtoyer, venant de différent rang sociaux, avec l'envie indéniable de se mêler les uns et les autres autour de cette magnifique passion.
Mais pour sûr tout le monde n'en est pas. Je le remarque quand je me rend en ville, où j'en croise quelques-uns qui pratique le 2 roues pour une raison qu'utilitaire. Il y a le scooteriste citadin. Celui-là je ne l'aime pas. Il s'enfile n'importe où à l'affût du feu vert pour se rendre le plus vite possible à son point B aux mépris des autres. Il est quand même facile de lui démontrer qu'il est trop près de vous par une manifestation de votre mécontentement qui s'appelle le rupteur. ET si cela ne suffit pas, utiliser un vieux casque pour lui mettre un sérieux coup de boule et ainsi repartir après en se sentant soulager d'avoir libéré quelques minutes le monde d'un esprit malsain et une certaine satisfaction en le regardant saigner du nez, assis le cul par terre dans le caniveau. ET je suis même quasi sur que quelques automobiliste vous applaudiront pour le beau geste libératoire et significatif de votre mécontentement.
Bref, il y a aussi celui qui utilise une petite cylindrée, qui te regarde avec une certaine incompréhension et étonnement quand tu lui fais un beau V de la main. Et celui là, toute sa journée sera pertubée par l'incompréhension de se signe, se demandant seulement qui vous étiez et s'il vous connaissait personnellement...
Il y a aussi l'esprit motard en virée. On a un certain comportement de respect entre nous. Quand on se dépasse on ne le fait pas n'importe comment. On le fait en sorte de ne pas mettre en danger les autres et on se remercie l'un d'un petit signe de la main pour dire qu'on a vu sa volonté de dépasser et qu'on lui a fait de la place, et l'autre par un signe du pied droite tendu pour remercier d'avoir laisser passer.
Ce comportement est aussi visible avec toute personne se démarquant par un L bleu fixé à l'arrière de sa monture. Celui là, il faut en prendre soin. Car on prend toujours soin et on protège les moins fort. Et tous ceux qui font partie de cette communauté, en dépassant, prenne grand attention en n'essayant le maximum de ne pas le mettre en danger. C'est le fait que de plutôt le rabaisser à son statut de médiocre apprentis, on va plutôt essayer de le tirer vers le haut, pour qu'il se débarrasse le plus vite possible de cette appendice qui ne permet pas de franchir la frontière pour aller profité de tous ces magnifiques autres horizons... Il sert aussi d'excuse, quand et que vous même n'arrivez pas à suivre le rythme de celui qui vous a dépassé parce que vous vous traînez la bite. "j'étais avec un L, désolé..." Le L est aussi utile en virée en Suisse. Vu que vous êtes presque obligé de ne pas rouler vite, il vous évite bon nombre de contraventions et de retrait de permis pour excès de vitesse. Donc oui, d'aller rouler avec un L ne sera pas une contrainte.
Il y a aussi l'empathie que l'on a entre nous... Le fait de s'arrêter vers un congénère lui même aussi à l'arrêt, et de lui demander s'il a besoin d'aide. Le fait de lui donner en coup de main pour démonter sa moto pour trouver la panne et l'engueuler au final pour ne pas vous avoir dit plus tôt que c'était une panne d'essence... Ou de tout simplement taper la causette 5 min tout en faisant reposer son moteur un moment avant de repartir pour de nouvelles aventures... On ne retrouve se comportement que parmi les motards. Je n'ai pas vu ce comportement ailleurs à part les personnes de même couleurs, même pays, même marque de caisse, entre eux mais pas d'horizon aussi différent tel que notre communauté.
Il y a aussi lors d'un accident. Il y a un motard qui tombe, et les premiers qui s'arrêtent pour lui porter secours disent aussi aux autres que tout va bien, qu'ils sont assez. Ça aussi, je n'ai pas vu ailleurs... C'est juste pas si par malheur, aucun motard ne passe par ici, ils vont te regarder crever dans une indifférence totale...
L'esprit motard se ressent différemment. Il n'est pas toujours visible que le motard n'est pas habillé comme tel et n'est pas avec sa monture. Il y en a certain qui que tu ne croirais pas qu'ils sont motards avant de les avoir vu sur leur moto. Et d'autre, où ça se voit comme le nez au milieu de la figure. Celui aussi qui se pousse généreusement à droite pour laisser passer un congénère. De ralentir, de pas accélérer comme les débiles qui se frustrent parce que tu vas plus vite qu'eux, pour le voir partir une larme à l'œil et de jalousie de n'être pas soi-même au guidon de sa machine comme lui... De lui faire la place à un feux rouge, parce que les feux rouges, tu sais que c'est chiant à moto. Bref, peu importe, si on est pas en moto, on cherche quand même à les protéger, en regrettant de ne pas y être soi-même...
Voilà. Et il y a les gens comme moi, qui vivent, pensent, rêvent et font tout par rapport à la moto. Ils ont leurs amis qui font aussi de la moto. C'est comme une drogue. Tu peux pas la sortir pendant 2 semaines parce que les routes sont enneigées, et que tu n'as malheureusement pas une petite Cross 250 pour aller rigoler, tu commence à sentir l'effet de manque. Les tremblement de mains t'envahissent, t'as envie de vomir, tu mattes tous les films inimaginable, mais pourvu qu'il y ait une moto dedans... Tu jettes juste 1 œil dehors, au travers de tes volets presque totalement fermés, pour voir si la misère dehors n'a pas évolué...
Après, il y a celui qui est complètement différent quand il n'est pas avec sa monture. Mais qui se doit de partir seul de son foyer familial et de sa vie professionnelle pour rejoindre cette communauté, même en roulant seul, en se sentant jamais seul sur la route quand il salue les autres ou s'arrête pour se mêler aux autres. Il ne se mettra pas par exemple à l'affût pour aller pourrir n'importe quel blaireau qui osera le défier sur une route, mais le suivra pour s'arrêter avec lui pour parler de la magnifique bourre qu'ils viennent de se tirer. Du plaisir commun qu'ils ont eu à rouler ensemble juste un moment.
L'esprit motard, c'est surtout le fait de partager et d'en parler. C'est très fraternel et chaleureux. Pas un moment je me sens seul.
Alors voilà. Et généralement, on retrouve plus souvent voir même tout le temps chez ceux appelés communément le *routard*. C'est celui qui part loin, à l'aventure, à la recherche de nouveaux horizons merveilleux à découvrir. C'est pour ça que cet esprit et cette entraide est très importante pour eux. Parce que cet esprit est aussi international. Et que peu importe où il va, même s'il est seul à partir, il ne l'ai jamais.
"insane_rider" wrote:
"FireWalker" wrote:
Être motard, c'est faire preuve d'intelligence
le gag...comme si etre motard te rendait supérieur aux autres...Faut aller dire ça au mec qui nettoie les camping apres le bol d'or ou les 24h du Mans...
Bon pour moi l'esprit motard, il faut que ça vienne dès le plus jeune âge. Il faut aimer le 2 roues. Ca part du vélo, en passant par la meule, le 50cm3, la 125 puis la moyenne et la grosse cylindrée.
Pour être motard, faut être un peu maso aussi et avide de liberté. Il faut aussi avoir un certain sens de l'anticipation et d'esprit logique de pilotage sinon on risque de finir 6 pieds sous terre que ce soit en 50 ou 1400 cm3 ! A mon avis, ceux qui dès le départ on eu plusieurs accidents devraient abandonner la brêle.
Maso parce que : on respire les monoxides de carbone, on risque de finir en chaise roulante ou bouffer les pissenlits par la racine à chaque virage, on accepte de se faire rincer, de se les geler, d'encaisser les impacts d'insectes, de puer les gaz d'échappement, de transpirer dans nos habits l'été, de mettre les mains dans le camboui, de supporter le masque de son épouse avant chaque virée, de craindre le courrier recommandé après une bonne bourre sur ligne droite, de voir l'avant de sa monture partir sur une plaque de glace
Avide de liberté parce que : les attentes dans les files de voitures sont inexistantes, les virées sont nombreuses, les parkings on connaît pas, on est souvent seul, on dépasse tout ce qui se traîne, on est libre d'ouvrir les gaz ou pas, on monte souvent sur le trottoir, on accède là ou les tas de ferraille ne peuvent pas,
je pense que le seul mot ''motard'' est péjoratif. Je ne me considère absolument pas comme un ''motard'' mais comme quelqu'un qui aime la moto et ne me retrouve en aucun cas dans les pseudos code comportementaux de ce monde.
Caaaaalllll!!!!!! J'aime tes cheveux et la façon dont tu gobes les flans B--) B--) B--) B--) B--)
Je sais, et je parlerai au nom de certains et de moi même, que la moto à aussi un effet cathartique parfois : rouler peut nous mettre face à des réalités qu'on ne veut pas voir, nous pousser dans nos retranchements, ou aller chercher une rage de vivre qu'on a tout au fond de nous. Ca peut même avoir un effet thérapeutique, et sauver de la dépression par exemple... Mais bien sûr, là je parle des vrais motards, des passionnés, pas de kékés en short ou des scooters
Et je me demandais comment vous vivrez le côté tragique de la moto. Le fait de vivre une passion "à risque", de savoir que les gens que vous connaissez peuvent disparaitre un jour, ou pas, savoir que malgré toutes les précautions prises, personne n'est jamais à l'abri, pas même vous..
Personnellement, j'ai vu des gens éviter totalement ces idées, se persuader que ça n'arrivera pas, pas à nous... D'autres rouler et vivre et profiter malgré tout, et advienne que pourra. On peut mourir à chaque coin de rue, ou même seul devant sa télé c'est sûr, mais la moto c'est bien entendu prendre des risques; et qu'on se voile la face ou non, pour moi rouler c'est accepter ce risque, pas comme une fatalité bien sûr mais avec un certain côté tragique. Et j'ai souvent plus peur pour ceux que j'aime que pour moi.
Rouler et vivre et profiter malgré tout, et advienne que pourra. On peut mourir à chaque coin de rue, ou même seul devant sa télé c'est sûr, mais la moto c'est bien entendu prendre des risques; et qu'on se voile la face ou non, pour moi rouler c'est accepter ce risque, pas comme une fatalité bien sûr mais avec un certain côté tragique. Et j'ai souvent plus peur pour ceux que j'aime que pour moi.
à 100% dans cette idée là aussi. J'ai plus peur pour les autres que pour moi. On est pas à l'abri, c'est une passion qui n'est pas sans risque mais le côté passionnel est toujours plus fort et il faut essayer d'éviter de faire le c** en espérant ne jamais manquer de chance. Mais il y a bien plus con comme manière de se tuer et bien plus triste, alors il faut vivre à fond sa passion
Rouler et vivre et profiter malgré tout, et advienne que pourra. On peut mourir à chaque coin de rue, ou même seul devant sa télé c'est sûr, mais la moto c'est bien entendu prendre des risques; et qu'on se voile la face ou non, pour moi rouler c'est accepter ce risque, pas comme une fatalité bien sûr mais avec un certain côté tragique. Et j'ai souvent plus peur pour ceux que j'aime que pour moi.
à 100% dans cette idée là aussi. J'ai plus peur pour les autres que pour moi. On est pas à l'abri, c'est une passion qui n'est pas sans risque mais le côté passionnel est toujours plus fort et il faut essayer d'éviter de faire le c** en espérant ne jamais manquer de chance. Mais il y a bien plus con comme manière de se tuer et bien plus triste, alors il faut vivre à fond sa passion
Vivre tue, rien d'autre a ajouter!
Note : ca passait, c'était beau ! MouetteMouetteMouetteMouette
Et je me demandais comment vous vivrez le côté tragique de la moto. Le fait de vivre une passion "à risque", de savoir que les gens que vous connaissez peuvent disparaitre un jour, ou pas, savoir que malgré toutes les précautions prises, personne n'est jamais à l'abri, pas même vous..
Personnellement, j'ai vu des gens éviter totalement ces idées, se persuader que ça n'arrivera pas, pas à nous... D'autres rouler et vivre et profiter malgré tout, et advienne que pourra. On peut mourir à chaque coin de rue, ou même seul devant sa télé c'est sûr, mais la moto c'est bien entendu prendre des risques; et qu'on se voile la face ou non, pour moi rouler c'est accepter ce risque, pas comme une fatalité bien sûr mais avec un certain côté tragique. Et j'ai souvent plus peur pour ceux que j'aime que pour moi.
je vis au présent. à 100%. que ce soit avec ma passion de la moto, dans mon boulot, avec les hommes, mes amis et j'en passe. puisque rien est éternel et qu'un drame est si vite arrivé, autant vivre le moment présent avec bcp d'intensité, donner aux autres et puis s'en aller...
la vie est trop courte pour s'emmerder
-"J’frêne comme un clebs et je me jette à la corde!"
-"T’es vraiment un clébard de l’attaque toi ! "
Rouler et vivre et profiter malgré tout, et advienne que pourra. On peut mourir à chaque coin de rue, ou même seul devant sa télé c'est sûr, mais la moto c'est bien entendu prendre des risques; et qu'on se voile la face ou non, pour moi rouler c'est accepter ce risque, pas comme une fatalité bien sûr mais avec un certain côté tragique. Et j'ai souvent plus peur pour ceux que j'aime que pour moi.
à 100% dans cette idée là aussi. J'ai plus peur pour les autres que pour moi. On est pas à l'abri, c'est une passion qui n'est pas sans risque mais le côté passionnel est toujours plus fort et il faut essayer d'éviter de faire le c** en espérant ne jamais manquer de chance. Mais il y a bien plus con comme manière de se tuer et bien plus triste, alors il faut vivre à fond sa passion
Vivre tue, rien d'autre a ajouter!
Quote:
La vie est une maladie mortelle sexuellement transmissible qui s’attrape à la naissance…
Pour ce qui est des autres, en cas d'accidents ou de drames plus conséquents (tsunami, car dans le tunnel au valais), je peux compatir pour les proches, aider autant que je peux, mais ça ne va que très peu me toucher personnellement.
Il n'y a que pour quelques très rares personnes (à compter sur les doigts d'une main je pense) que la peine sera grande, c'est ptet dû au fait d'avoir perdu un parent jeune, en étant du coup très jeune moi, qui m'a habitué à l'idée que personne n'était immortel et à l'abri, que n'importe qui pouvait rapidement disparaître et de fait ne plus trop m'attacher en général
Par contre pour ces quelques rares personnes, si je m'attache vraiment suis pire qu'un morb-bull (croisement entre un morbac et un pitbull, je m'accroche et je protège)
- Concernant la question: être ou ne pas être motard?
honnetement, j'ai en tous cas pas l'esprit motard ou même + "bikers", une appartenance à un clan, le respect du clan et le mépris pour les autres pfff conneries.
Je rejoindrais l'idée de Bof bof, de rouler pour soi, son plaisir, à sa façon et aider celui qui en a besoin peu importe sa monture 1,2,3,4 ou plus roues/pattes/chenilles que sais-je et peu importe.
voilà
Et je me demandais comment vous vivrez le côté tragique de la moto. Le fait de vivre une passion "à risque", de savoir que les gens que vous connaissez peuvent disparaitre un jour, ou pas...
Ma pire expérience de la moto... avec ma copine de l'époque : je ne la voyais plus dans mes rétros, je fais demi-tour... je la retrouve couchée au milieu de la route, moto explosée... sur le moment j'ai hurlé ! 3 mois après elle avait une nouvelle bécane et on faisait à nouveau les fous sur la route
Sinon en 25 ans de bécane j'en ai ramassé des potes, j'en ai même vu partir à la faute sous mes roues... par chance ils se sont tous relevés, tout de suite ou après quelques mois. Par contre d'autres sont partis trop tôt, quelques-uns, mais c'est la maladie qui les a tués pas la moto...
J'entame ma 26ème saison de moto, depuis mes 18 ans j'ai roulé en sportive, en naked, en trail, en GT... j'ai tâté de la course de côte, fais de l'enduro, 5 raids à moto neige au Québec, un raid moto en Himalaya... ma vie, c'est la moto... les amours passent, la passion reste. Les filles avec que j'ai partagé un bout de chemin le savent bien : s'il leur était venu à l'idée de me demander de faire un choix, la moto aurait gagné dans tous les cas ! Mon choix de ne pas avoir d'enfant : la moto n'y est pas étrangère non plus, elle est ma liberté !!!
- L'intelligence artificielle ne remplacera jamais la connerie humaine ! -
Ben déjà les motards c'est que des gros vieux barbus tatoués qui picolent et rient bien fort!
Faut pas être comme ça restrictif: on peut roter, et péter à table aussi....
Z'ont p'têt l'esprit motard les p'tits jeunes, mais y'en avait pas lerche sur les routes avant le beau temps de la semaine dernière! J'ai roulé tous les jours en mars (trajet mézon - boulot -mézon), et j'ai croisé 3 motards en tout et pour tout!!!!
Amitiés,
A+,
le Jef-z'avez-tort,-le-froid-ça-conserve!!!!
Chez les cons, les pires c'est les vieux! Tu peux pas lutter contre l'expérience!
Inscription: 24/01/2012
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#16le gag...comme si etre motard te rendait supérieur aux autres...Faut aller dire ça au mec qui nettoie les camping apres le bol d'or ou les 24h du Mans...
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#17A vrai dire pour moi l'esprit motard à une époque où l'on est à tour de rôle piéton, automobiliste selon la météo ou les besoins me semble un tantinet galvaudé pour ne pas dire obsolète.
Etre un motard ça veut déjà dire devoir s'adapter aux exigences spécifiques de la moto en terme de sécurité et de confort. C'est aussi faire un tout avec son véhicule. Une sorte de fusion entre le pilote et l'engin. Une moto une fois qu'on l'a connait, on la sent par le biais des divers bruits et vibrations et on interagit en conséquence.
Je n'ai personnellement aucun plaisir à rouler avec une moto qui ne me plait pas esthétiquement ou qui soit dégueulasse. Alors que l'état de ma bagnole, qui est avant tout un véhicule utilitaire, m'indiffère complètement.
Comme le dit très bien Paul Peczon, conduire une moto est sans aucun doute la sensation la plus intense qu'une machine puisse provoquer.
Inscription: 14/08/2007
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#18Pour moi, c'est aussi exactement ça, l'esprit motard. Peu importe qui tu es dans la vie, d'où tu viens. Tu fais partie de la communauté et tu te comportes comme tel.
J'en ai connu pas mal des grands pontes, que je ne savais pas qui ils étaient. Il n'y a pas de statut social plus élevé l'un comme l'autre. Cette barrière disparait et ouvre le monde à la communication, l'envie de se côtoyer, venant de différent rang sociaux, avec l'envie indéniable de se mêler les uns et les autres autour de cette magnifique passion.
Mais pour sûr tout le monde n'en est pas. Je le remarque quand je me rend en ville, où j'en croise quelques-uns qui pratique le 2 roues pour une raison qu'utilitaire. Il y a le scooteriste citadin. Celui-là je ne l'aime pas. Il s'enfile n'importe où à l'affût du feu vert pour se rendre le plus vite possible à son point B aux mépris des autres. Il est quand même facile de lui démontrer qu'il est trop près de vous par une manifestation de votre mécontentement qui s'appelle le rupteur. ET si cela ne suffit pas, utiliser un vieux casque pour lui mettre un sérieux coup de boule et ainsi repartir après en se sentant soulager d'avoir libéré quelques minutes le monde d'un esprit malsain et une certaine satisfaction en le regardant saigner du nez, assis le cul par terre dans le caniveau. ET je suis même quasi sur que quelques automobiliste vous applaudiront pour le beau geste libératoire et significatif de votre mécontentement.
Bref, il y a aussi celui qui utilise une petite cylindrée, qui te regarde avec une certaine incompréhension et étonnement quand tu lui fais un beau V de la main. Et celui là, toute sa journée sera pertubée par l'incompréhension de se signe, se demandant seulement qui vous étiez et s'il vous connaissait personnellement...
Il y a aussi l'esprit motard en virée. On a un certain comportement de respect entre nous. Quand on se dépasse on ne le fait pas n'importe comment. On le fait en sorte de ne pas mettre en danger les autres et on se remercie l'un d'un petit signe de la main pour dire qu'on a vu sa volonté de dépasser et qu'on lui a fait de la place, et l'autre par un signe du pied droite tendu pour remercier d'avoir laisser passer.
Ou de tout simplement taper la causette 5 min tout en faisant reposer son moteur un moment avant de repartir pour de nouvelles aventures... On ne retrouve se comportement que parmi les motards. Je n'ai pas vu ce comportement ailleurs à part les personnes de même couleurs, même pays, même marque de caisse, entre eux mais pas d'horizon aussi différent tel que notre communauté.
Ce comportement est aussi visible avec toute personne se démarquant par un L bleu fixé à l'arrière de sa monture. Celui là, il faut en prendre soin. Car on prend toujours soin et on protège les moins fort. Et tous ceux qui font partie de cette communauté, en dépassant, prenne grand attention en n'essayant le maximum de ne pas le mettre en danger. C'est le fait que de plutôt le rabaisser à son statut de médiocre apprentis, on va plutôt essayer de le tirer vers le haut, pour qu'il se débarrasse le plus vite possible de cette appendice qui ne permet pas de franchir la frontière pour aller profité de tous ces magnifiques autres horizons... Il sert aussi d'excuse, quand et que vous même n'arrivez pas à suivre le rythme de celui qui vous a dépassé parce que vous vous traînez la bite. "j'étais avec un L, désolé..." Le L est aussi utile en virée en Suisse. Vu que vous êtes presque obligé de ne pas rouler vite, il vous évite bon nombre de contraventions et de retrait de permis pour excès de vitesse. Donc oui, d'aller rouler avec un L ne sera pas une contrainte.
Il y a aussi l'empathie que l'on a entre nous... Le fait de s'arrêter vers un congénère lui même aussi à l'arrêt, et de lui demander s'il a besoin d'aide. Le fait de lui donner en coup de main pour démonter sa moto pour trouver la panne et l'engueuler au final pour ne pas vous avoir dit plus tôt que c'était une panne d'essence...
Il y a aussi lors d'un accident. Il y a un motard qui tombe, et les premiers qui s'arrêtent pour lui porter secours disent aussi aux autres que tout va bien, qu'ils sont assez. Ça aussi, je n'ai pas vu ailleurs... C'est juste pas si par malheur, aucun motard ne passe par ici, ils vont te regarder crever dans une indifférence totale...
L'esprit motard se ressent différemment. Il n'est pas toujours visible que le motard n'est pas habillé comme tel et n'est pas avec sa monture. Il y en a certain qui que tu ne croirais pas qu'ils sont motards avant de les avoir vu sur leur moto. Et d'autre, où ça se voit comme le nez au milieu de la figure. Celui aussi qui se pousse généreusement à droite pour laisser passer un congénère. De ralentir, de pas accélérer comme les débiles qui se frustrent parce que tu vas plus vite qu'eux, pour le voir partir une larme à l'œil et de jalousie de n'être pas soi-même au guidon de sa machine comme lui... De lui faire la place à un feux rouge, parce que les feux rouges, tu sais que c'est chiant à moto. Bref, peu importe, si on est pas en moto, on cherche quand même à les protéger, en regrettant de ne pas y être soi-même...
Voilà. Et il y a les gens comme moi, qui vivent, pensent, rêvent et font tout par rapport à la moto. Ils ont leurs amis qui font aussi de la moto. C'est comme une drogue. Tu peux pas la sortir pendant 2 semaines parce que les routes sont enneigées, et que tu n'as malheureusement pas une petite Cross 250 pour aller rigoler, tu commence à sentir l'effet de manque. Les tremblement de mains t'envahissent, t'as envie de vomir, tu mattes tous les films inimaginable, mais pourvu qu'il y ait une moto dedans... Tu jettes juste 1 œil dehors, au travers de tes volets presque totalement fermés, pour voir si la misère dehors n'a pas évolué...
Après, il y a celui qui est complètement différent quand il n'est pas avec sa monture. Mais qui se doit de partir seul de son foyer familial et de sa vie professionnelle pour rejoindre cette communauté, même en roulant seul, en se sentant jamais seul sur la route quand il salue les autres ou s'arrête pour se mêler aux autres. Il ne se mettra pas par exemple à l'affût pour aller pourrir n'importe quel blaireau qui osera le défier sur une route, mais le suivra pour s'arrêter avec lui pour parler de la magnifique bourre qu'ils viennent de se tirer. Du plaisir commun qu'ils ont eu à rouler ensemble juste un moment.
L'esprit motard, c'est surtout le fait de partager et d'en parler. C'est très fraternel et chaleureux. Pas un moment je me sens seul.
Alors voilà. Et généralement, on retrouve plus souvent voir même tout le temps chez ceux appelés communément le *routard*. C'est celui qui part loin, à l'aventure, à la recherche de nouveaux horizons merveilleux à découvrir. C'est pour ça que cet esprit et cette entraide est très importante pour eux. Parce que cet esprit est aussi international. Et que peu importe où il va, même s'il est seul à partir, il ne l'ai jamais.
Ça, c'est pas faux....
Je penche donc je suis !
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#19Bon pour moi l'esprit motard, il faut que ça vienne dès le plus jeune âge. Il faut aimer le 2 roues. Ca part du vélo, en passant par la meule, le 50cm3, la 125 puis la moyenne et la grosse cylindrée.
Pour être motard, faut être un peu maso aussi et avide de liberté. Il faut aussi avoir un certain sens de l'anticipation et d'esprit logique de pilotage sinon on risque de finir 6 pieds sous terre que ce soit en 50 ou 1400 cm3 ! A mon avis, ceux qui dès le départ on eu plusieurs accidents devraient abandonner la brêle.
Maso parce que : on respire les monoxides de carbone, on risque de finir en chaise roulante ou bouffer les pissenlits par la racine à chaque virage, on accepte de se faire rincer, de se les geler, d'encaisser les impacts d'insectes, de puer les gaz d'échappement, de transpirer dans nos habits l'été, de mettre les mains dans le camboui, de supporter le masque de son épouse avant chaque virée, de craindre le courrier recommandé après une bonne bourre sur ligne droite, de voir l'avant de sa monture partir sur une plaque de glace
Avide de liberté parce que : les attentes dans les files de voitures sont inexistantes, les virées sont nombreuses, les parkings on connaît pas, on est souvent seul, on dépasse tout ce qui se traîne, on est libre d'ouvrir les gaz ou pas, on monte souvent sur le trottoir, on accède là ou les tas de ferraille ne peuvent pas,
c'est un peu mon avis
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#20je pense que le seul mot ''motard'' est péjoratif. Je ne me considère absolument pas comme un ''motard'' mais comme quelqu'un qui aime la moto et ne me retrouve en aucun cas dans les pseudos code comportementaux de ce monde.
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#21Ben déjà les motards c'est que des gros vieux barbus tatoués qui picolent et rient bien fort!
Z'avez vu ce temps?! Motooo mais motoooooooo!
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#22Absolument! Y'en a même qui gobent des flans
Si la vida no te sonríe ... hazle cosquillas!
\oa/
Inscription: 11/02/2011
Localisation: Vers l'infini et au-delà...
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#23Caaaaalllll!!!!!! J'aime tes cheveux et la façon dont tu gobes les flans B--) B--) B--) B--) B--)
Je sais, et je parlerai au nom de certains et de moi même, que la moto à aussi un effet cathartique parfois : rouler peut nous mettre face à des réalités qu'on ne veut pas voir, nous pousser dans nos retranchements, ou aller chercher une rage de vivre qu'on a tout au fond de nous. Ca peut même avoir un effet thérapeutique, et sauver de la dépression par exemple... Mais bien sûr, là je parle des vrais motards, des passionnés, pas de kékés en short ou des scooters
Et je me demandais comment vous vivrez le côté tragique de la moto. Le fait de vivre une passion "à risque", de savoir que les gens que vous connaissez peuvent disparaitre un jour, ou pas, savoir que malgré toutes les précautions prises, personne n'est jamais à l'abri, pas même vous..
Personnellement, j'ai vu des gens éviter totalement ces idées, se persuader que ça n'arrivera pas, pas à nous... D'autres rouler et vivre et profiter malgré tout, et advienne que pourra. On peut mourir à chaque coin de rue, ou même seul devant sa télé c'est sûr, mais la moto c'est bien entendu prendre des risques; et qu'on se voile la face ou non, pour moi rouler c'est accepter ce risque, pas comme une fatalité bien sûr mais avec un certain côté tragique. Et j'ai souvent plus peur pour ceux que j'aime que pour moi.
Z'avez vu ce temps?! Motooo mais motoooooooo!
Inscription: 02/05/2007
Localisation: Lausanne
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#24à 100% dans cette idée là aussi. J'ai plus peur pour les autres que pour moi. On est pas à l'abri, c'est une passion qui n'est pas sans risque mais le côté passionnel est toujours plus fort et il faut essayer d'éviter de faire le c** en espérant ne jamais manquer de chance. Mais il y a bien plus con comme manière de se tuer et bien plus triste, alors il faut vivre à fond sa passion
Inscription: 10/05/2010
Localisation: Dans les graviers
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#25Vivre tue, rien d'autre a ajouter!
Note : ca passait, c'était beau ! MouetteMouetteMouetteMouette
Inscription: 27/05/2008
Localisation: Yverdon
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#26je vis au présent. à 100%. que ce soit avec ma passion de la moto, dans mon boulot, avec les hommes, mes amis et j'en passe. puisque rien est éternel et qu'un drame est si vite arrivé, autant vivre le moment présent avec bcp d'intensité, donner aux autres et puis s'en aller...
la vie est trop courte pour s'emmerder
-"J’frêne comme un clebs et je me jette à la corde!"
-"T’es vraiment un clébard de l’attaque toi ! "
Inscription: 23/01/2007
Localisation: La Neuveville
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#27Mourir pas grave(tant que j'ai pas charge d'enfant), finir handicapé (mobilité ou cérébral) non merci.
Alors quitte à se louper, autant le faire avec panache et d'ici là profiter.
Pour ce qui est des autres, en cas d'accidents ou de drames plus conséquents (tsunami, car dans le tunnel au valais), je peux compatir pour les proches, aider autant que je peux, mais ça ne va que très peu me toucher personnellement.
Il n'y a que pour quelques très rares personnes (à compter sur les doigts d'une main je pense) que la peine sera grande, c'est ptet dû au fait d'avoir perdu un parent jeune, en étant du coup très jeune moi, qui m'a habitué à l'idée que personne n'était immortel et à l'abri, que n'importe qui pouvait rapidement disparaître et de fait ne plus trop m'attacher en général
Par contre pour ces quelques rares personnes, si je m'attache vraiment suis pire qu'un morb-bull (croisement entre un morbac et un pitbull, je m'accroche et je protège)

- Concernant la question: être ou ne pas être motard?
honnetement, j'ai en tous cas pas l'esprit motard ou même + "bikers", une appartenance à un clan, le respect du clan et le mépris pour les autres pfff conneries.
Je rejoindrais l'idée de Bof bof, de rouler pour soi, son plaisir, à sa façon et aider celui qui en a besoin peu importe sa monture 1,2,3,4 ou plus roues/pattes/chenilles que sais-je et peu importe.
voilà
K_ramazof, aucun lien fils uniqueNi Dieu, ni maître, chuis le fils d'Osiris, chuis le plus fort, chuis le plus intelligent et je suis ....
Inscription: 28/05/2008
Localisation: Seeland
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#28Ma pire expérience de la moto... avec ma copine de l'époque : je ne la voyais plus dans mes rétros, je fais demi-tour... je la retrouve couchée au milieu de la route, moto explosée... sur le moment j'ai hurlé ! 3 mois après elle avait une nouvelle bécane et on faisait à nouveau les fous sur la route
Sinon en 25 ans de bécane j'en ai ramassé des potes, j'en ai même vu partir à la faute sous mes roues... par chance ils se sont tous relevés, tout de suite ou après quelques mois. Par contre d'autres sont partis trop tôt, quelques-uns, mais c'est la maladie qui les a tués
pas la moto...
J'entame ma 26ème saison de moto, depuis mes 18 ans j'ai roulé en sportive, en naked, en trail, en GT... j'ai tâté de la course de côte, fais de l'enduro, 5 raids à moto neige au Québec, un raid moto en Himalaya... ma vie, c'est la moto... les amours passent, la passion reste. Les filles avec que j'ai partagé un bout de chemin le savent bien : s'il leur était venu à l'idée de me demander de faire un choix, la moto aurait gagné dans tous les cas ! Mon choix de ne pas avoir d'enfant : la moto n'y est pas étrangère non plus, elle est ma liberté !!!
- L'intelligence artificielle ne remplacera jamais la connerie humaine ! -
Inscription: 17/01/2013
Localisation: La Chaux-de-Fonds
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#29Un petit article à lire : http://www.marianne.net/Vieux-motards-que-jamais-_a228165.html

(et pour m'éviter de répondre à un motard de terrasse de bistrot)
Non rien...
I have a dream : http://vachfolle.free.fr/aaaaaaah.swf
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Inscription: 12/05/2006
Localisation: Bienne
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#30Faut pas être comme ça restrictif: on peut roter, et péter à table aussi....
Z'ont p'têt l'esprit motard les p'tits jeunes, mais y'en avait pas lerche sur les routes avant le beau temps de la semaine dernière!
J'ai roulé tous les jours en mars (trajet mézon - boulot -mézon), et j'ai croisé 3 motards en tout et pour tout!!!!
Amitiés,
A+,
le Jef-z'avez-tort,-le-froid-ça-conserve!!!!
Chez les cons, les pires c'est les vieux! Tu peux pas lutter contre l'expérience!